Intervenir auprès de mères ayant un trouble de personnalité limite : quand la souffrance des unes se conjugue au désarroi des autres
Intervenir auprès de mères ayant un trouble de personnalité limite : quand la souffrance des unes se conjugue au désarroi des autres
Intervenir auprès de mères ayant un trouble de personnalité limite : quand la souffrance des unes se conjugue au désarroi des autres
Intervenir auprès de mères ayant un trouble de personnalité limite : quand la souffrance des unes se conjugue au désarroi des autress
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Référence bibliographique [19408]
Laporte, Lise et Desrosiers, Lyne. 2015. «Intervenir auprès de mères ayant un trouble de personnalité limite : quand la souffrance des unes se conjugue au désarroi des autres ». Défi jeunesse, vol. 21, no 2, p. 34-35.
Intentions : Les auteures présentent les résultats d’une étude qui aborde «les défis que pouvait représenter le travail auprès de parents ayant un trouble de personnalité limite (TPL) pour les intervenants œuvrant dans le contexte de la protection de la jeunesse.» (p. 34)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’étude est basée sur la participation «[d]’une centaine d’intervenants psychosociaux du CJM-IU [Centre jeunesse de Montréal – Institut universitaire], dans le cadre de six groupes de discussion portant sur les défis quotidiens qu’ils devaient relever avec ces parents.» (p. 34)
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
Les résultats «soulignent l’importance de se préoccuper des défis auxquels font face les intervenants œuvrant auprès de familles touchées par un TPL et présente quelques recommandations d’ordre organisationnel et clinique pour mieux les soutenir. Les intervenants aimeraient qu’une formation adaptée aux besoins et à la réalité des intervenants en protection de la jeunesse soit mise en place afin d’offrir des balises pour intervenir de façon plus adaptée au quotidien, et ce tant auprès des parents qu’auprès des adolescents susceptibles de développer ce problème. Les participants souhaitaient que les informations sur la santé mentale des parents, et des jeunes, soient mieux gérées, plus complètes, plus accessibles.» (p. 35)