Regard sur la consommation excessive d’alcool chez les jeunes et les adultes du Saguenay-Lac-Saint-Jean

Regard sur la consommation excessive d’alcool chez les jeunes et les adultes du Saguenay-Lac-Saint-Jean

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Regard sur la consommation excessive d’alcool chez les jeunes et les adultes du Saguenay-Lac-Saint-Jeans

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Référence bibliographique [19357]

Tremblay, Fabien. 2015. Regard sur la consommation excessive d’alcool chez les jeunes et les adultes du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Saguenay (Québec): Gouvernement du Québec, Direction de Santé publique, Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Afin de mieux cibler les actions de santé publique auprès des personnes à risque, ce document présente les données les plus récentes disponibles sur la consommation d’alcool dans la région [du Saguenay–Lac-Saint-Jean].» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Cette étude s’appuie sur les données de trois enquêtes: l’Enquête de santé du Saguenay–Lac-Saint-Jean (2012), réalisée auprès de 4030 répondants; l’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire 2010-2011 (EQSJS), «menée auprès de 3 482 jeunes de 12 à 17 ans fréquentant les écoles secondaires de la région» (p. 3); et l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC).

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«L’EQSJS s’intéresse à deux facettes de l’environnement social des jeunes qui sont associées à la consommation d’alcool: la famille et les amis. En ce qui concerne la famille, on constate que la structure familiale et le niveau de supervision parentale sont associés à la consommation d’alcool des jeunes […]. Ainsi, les jeunes vivant dans des familles biparentales sont effectivement moins nombreux que les autres à déclarer une consommation excessive d’alcool (50% contre 59%). De même, les jeunes ayant un niveau de supervision parentale élevé sont proportionnellement moins nombreux à déclarer une consommation excessive (35%) que ceux ayant un niveau de supervision parentale faible ou moyen (63%), de même pour les jeunes bénéficiant d’un soutien social élevé dans leur environnement familial (51% contre 62% chez ceux ayant un soutien faible ou moyen) […].» (p. 9)