Mémoire déposé dans le cadre des audiences d’experts de la Commission sur l’éducation à la petite enfance

Mémoire déposé dans le cadre des audiences d’experts de la Commission sur l’éducation à la petite enfance

Mémoire déposé dans le cadre des audiences d’experts de la Commission sur l’éducation à la petite enfance

Mémoire déposé dans le cadre des audiences d’experts de la Commission sur l’éducation à la petite enfances

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Référence bibliographique [19307]

Poissant, Julie. 2016. Mémoire déposé dans le cadre des audiences d’experts de la Commission sur l’éducation à la petite enfance. Québec: Gouvernement du Québec, Institut national de santé publique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce mémoire s’inscrit dans la phase 1 de la consultation qui débute par des audiences publiques d’experts [dans le cadre de la Commission sur l’éducation à la petite enfance]. L’auteure de ce mémoire a été invitée à participer au dialogue.» (p. I) Le mémoire se divise en deux parties: la perspective de l’égalité des chances adoptée par la Commission et les questions soulevées par la Commission entourant l’universalité, l’accessibilité et la qualité.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«La qualité des expériences des enfants et la qualité des relations avec les personnes qui s’occupent d’eux dans les milieux où ils vivent, grandissent et apprennent influencent de manière déterminante leur développement. Ce développement est à son tour un déterminant de la santé, du bien-être et des capacités d’apprentissage pour le reste de la vie. […] Les services de garde éducatifs font partie des mesures susceptibles d’agir sur ces écarts en protégeant les enfants des effets de l’adversité économique, mais à condition de fréquenter un centre de la petite enfance (CPE) tôt dans la vie. […] L’accroissement du nombre de places réservées pour les enfants vivant en contexte de vulnérabilité, en augmentant le nombre de CPE et de CSSS signant un protocole d’entente, pourrait être une piste pour réduire la barrière liée au manque de places. Alors que l’exemption de la contribution parentale de base pour une fréquentation à temps plein plutôt qu’à temps partiel à tous les parents qui reçoivent une prestation en application du Programme d’aide sociale ou du Programme de solidarité sociale pourrait être une piste à explorer pour réduire la barrière d’accès liée aux coûts.» (p. 1)