Perception de soi et de l’accumulation d’objets chez les personnes présentant des comportements de Hoarding

Perception de soi et de l’accumulation d’objets chez les personnes présentant des comportements de Hoarding

Perception de soi et de l’accumulation d’objets chez les personnes présentant des comportements de Hoarding

Perception de soi et de l’accumulation d’objets chez les personnes présentant des comportements de Hoardings

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Référence bibliographique [19279]

Mantha, Mylène. 2014. «Perception de soi et de l’accumulation d’objets chez les personnes présentant des comportements de Hoarding». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, École de travail social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«L’objectif principal de cette recherche est de comprendre la signification de l’accumulation d’objets pour la personne présentant des comportements de hoarding.» (p. i)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Les répondants sont des personnes qui se sont auto-identifiées comme ayant des comportements d’accumulation excessive d’objets. Ils habitent tous l’île de Montréal. Pour ce projet de recherche, nous avons rencontré 8 répondants, parmi lesquels se trouvaient 5 femmes et 3 hommes […].» (p. 54)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Dans la perspective mise de l’avant dans ce mémoire, hoarding n’est pas une maladie, pas plus qu’il n’est le symptôme d’une maladie. Il s’agit d’un comportement qui, comme n’importe quel autre comportement, peut être influencé par le contexte de la personne qui le présente.» (p. 105) En ce qui concerne plus précisément les aspects familiaux et conjugaux du phénomène à l’étude, «la majorité des répondants rapporte vivre des tensions familiales importantes. Certaines tensions semblent reliées à l’accumulation alors que plusieurs participants semblent provenir de familles brisées.» (p. 72) «Outre le parcours familial difficile, les répondants rencontrent aussi des défis par rapport aux relations de couple. Tous les répondants perçoivent les comportements d’accumulation comme une difficulté dans les relations de couple. […] En ce qui a trait à la vie de famille, tous les répondants ayant des enfants rapportent avoir fait des efforts pour maintenir l’accumulation sous contrôle tan [sic] que les enfants vivaient sous le même toit qu’eux. Ils mentionnent que l’accumulation et le fait de restreindre l’accès au logement pouvaient avoir des conséquences négatives pour l’enfant et qu’ils tentaient du mieux possible de limiter celles-ci.» (p. 73)