Étude des motivations de consommation alimentaire d’adolescents québécois de 12 à 14 ans par l’utilisation de la photographie

Étude des motivations de consommation alimentaire d’adolescents québécois de 12 à 14 ans par l’utilisation de la photographie

Étude des motivations de consommation alimentaire d’adolescents québécois de 12 à 14 ans par l’utilisation de la photographie

Étude des motivations de consommation alimentaire d’adolescents québécois de 12 à 14 ans par l’utilisation de la photographies

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Référence bibliographique [19265]

Lebel, Caroline. 2015. «Étude des motivations de consommation alimentaire d’adolescents québécois de 12 à 14 ans par l’utilisation de la photographie». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Département de nutrition.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Le but de cette étude est d’«[e]xplorer et mettre en relief les principaux déterminants jouant un rôle dans le processus décisionnel des choix alimentaires chez de jeunes adolescents québécois tout en évaluant la méthode de recherche qualitative utilisée.» (p. ii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’étude repose sur les données issues d’entrevues menées auprès de 30 adolescents (18 garçons et 12 filles) âgés entre 12 et 14 ans dans le cadre du projet de recherche Les dimensions socioculturelles des pratiques alimentaires et d’activité physique des jeunes: une enquête qualitative auprès d’adolescents québécois de 12 à 14 ans, réalisée par des chercheures de l’Institut national de la recherche scientifique et de l’Institut national de la santé publique du Québec.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


À la lumière de ses recherches, l’auteure constate que «[l]es facteurs liés aux environnements sociaux sont tout de même prédominants dans les motivations de consommation chez les jeunes de cette étude. Certes, la famille apparaît de loin la plus dominante parmi les facteurs sociaux. Les amis, le repas en famille et les activités associées à l’aliment ou lieu de consommation sont aussi importants. […] Il n’y a pas que les membres de la famille proche qui semblent influencer les comportements alimentaires des jeunes participants. Certains d’entre eux font référence à des membres de la famille élargie telle la tante, les grands-parents, etc. Cependant, il est à noter que la fratrie a été peu abordée par les jeunes et donc ne semble pas être un facteur d’influence. Le rôle déterminant de cette famille élargie est en émergence dans la littérature scientifique notons à titre d’exemple le rôle des grands-parents sur le comportements alimentaires [sic] des jeunes dans certaines communautés culturelles.» (p. 83-84) L’auteure relate aussi l’importance de la prise des repas en famille, mais mentionne que «les jeunes ont identifié de nombreux obstacles qui empêchent la famille de se réunir autour de la table […]. Ces obstacles sont généralement issus des emplois du temps qui divergent entre les différents membres de la famille.» (p. 86)