Les influences de la socialisation des genres sur l’expérience d’hommes ayant assuré des soins palliatifs de fin de vie à domicile pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminale

Les influences de la socialisation des genres sur l’expérience d’hommes ayant assuré des soins palliatifs de fin de vie à domicile pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminale

Les influences de la socialisation des genres sur l’expérience d’hommes ayant assuré des soins palliatifs de fin de vie à domicile pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminale

Les influences de la socialisation des genres sur l’expérience d’hommes ayant assuré des soins palliatifs de fin de vie à domicile pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminales

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Référence bibliographique [19230]

Héroux, Line. 2016. «Les influences de la socialisation des genres sur l’expérience d’hommes ayant assuré des soins palliatifs de fin de vie à domicile pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminale». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Notre étude a comme objectif de mieux comprendre comment la socialisation des hommes se manifeste dans le rôle de conjoints proches aidants à domicile, pour une conjointe atteinte d’un cancer à l’étape pré-terminale et terminale.» (p. iii)

Questions/Hypothèses :
«[C]omment la socialisation des genres influence-t-elle l’expérience de prodiguer des soins de fin de vie chez des hommes qui ont assumé le rôle de proche aidant pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminale?» (p. 2)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de 12 «hommes ayant assumé des soins palliatifs de fin de vie à domicile, pour leur conjointe atteinte d’un cancer en phase terminale.» (p. 49)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Il semble que ce soit le fait d’être informé, plutôt que le niveau d’éducation, qui a une influence sur le contexte de soins en procurant aux conjoints soignants les outils nécessaires pour mieux répondre aux demandes des soins. Il apparaît que les hommes qui ont conservé le modèle traditionnel du partage des tâches ont eu plus de difficultés à assurer le [sic] vie domestique de la maison. Les réseaux formels ont suppléé au manque de ressources familiales et au manque de connaissances des répondants. L’amour, le désir d’offrir les meilleurs soins et la fidélité à leur engagement sont des motifs à la base de la prise en charge. Les hommes plus jeunes n’ont pas hésité à quitter leur travail pour prendre soin. Ils n’ont pas exprimé de craintes quant à leur masculinité. Quant aux plus âgés à la retraite, ils auraient été hésitants à quitter leur travail pour soigner si la situation s’était présentée.» (p. iii)