L’influence des proches dans la demande d’aide formelle des hommes en difficulté

L’influence des proches dans la demande d’aide formelle des hommes en difficulté

L’influence des proches dans la demande d’aide formelle des hommes en difficulté

L’influence des proches dans la demande d’aide formelle des hommes en difficultés

| Ajouter

Référence bibliographique [19192]

Fortin, Marc-Philippe. 2016. «L’influence des proches dans la demande d’aide formelle des hommes en difficulté». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[C]ette recherche qualitative a pour objectif d’approfondir le point de vue des proches dans le processus de demande d’aide chez les hommes.» (p. iii)

Questions/Hypothèses :
«Comment les membres du réseau social informel peuvent-ils favoriser la demande d’aide formelle chez un homme en difficulté?» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de «huit personnes ayant influencé un homme de leur entourage à consulter un professionnel […].» (p. iii)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les résultats révèlent que le proche intervient souvent peu après l’apparition des premiers signaux de détresse chez l’homme de son entourage, étant particulièrement sensible aux changements dans l’humeur de l’homme ainsi qu’au risque suicidaire. Ils tentent alors d’utiliser les moyens à leur disposition – les ressources informelles - jusqu’à ce que cela ne fonctionne plus. Les proches se tournent alors vers des ressources formelles et ce sont eux, la plupart du temps, qui transmettent l’information à l’homme quant à la nature des services professionnels disponibles.» (p. iii) En ce qui concerne la dimension conjugale du phénomène à l’étude, l’auteur souligne que «[l]a relation avec le/la conjoint/e a […] joué un rôle central dans le processus de demande d’aide de plusieurs hommes, la qualité de la relation conjugale contribuant d’une certaine manière à une demande d’aide chez l’homme, ces derniers étant plus sensibles aux conseils de leur conjointe, en ce qui a trait à leur santé, lorsque la relation conjugale va bien […].» (p. 37)