Portrait des habitudes d’activités physiques et d’alimentation chez des adolescents québécois

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Portrait des habitudes d’activités physiques et d’alimentation chez des adolescents québécoiss

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Référence bibliographique [19171]

Dubreuil, Pascal. 2014. «Portrait des habitudes d’activités physiques et d’alimentation chez des adolescents québécois». Mémoire de maîtrise, Trois-Rivières (Québec), Université du Québec à Trois-Rivières, Département des sciences de l’activité physique.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«La présente étude vise quatre objectifs: […] comparer la proportion des ''sportifs'' par rapport à celle des ''élèves'' au niveau des habitudes d’activités physiques et d’alimentation en ce qui a trait à l’atteinte des recommandations nationales, […] vérifier la relation entre les habitudes de vie des adolescents et l’influence des environnements, […] comparer la proportion des ''sportifs'' versus celle des ''élèves'' au regard des environnements d’influence sur les habitudes de vie, et […] vérifier si le processus de socialisation institutionnelle peut expliquer les différences quant aux influences de l’environnement chez les adolescents.» (p. iii-iv)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«L’échantillon compte 2573 adolescents âgés de 12 à 17 ans (F=49,6% et H=50,4%), un premier sous-groupe ''sportifs'' participant à la Finale des Jeux du Québec (n=1865; F=47,9% et H=52,1%), et un second sous-groupe ''élèves'' fréquentant deux écoles secondaires de la Mauricie (n=708; F=53,9% et H=46,1%).» (p. iv)

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Les résultats indiquent que l’échantillon composé d’adolescents ''sportifs'' est plus actif, bien que plusieurs n’atteignent pas les standards recommandés, et consomment une plus grande proportion de légumes et fruits que l’échantillon formé d’''élèves''. De plus, les résultats indiquent qu’il y a une relation significative entre les environnements d’influence et les comportements de santé. Les ''sportifs'' rapportent, de façon générale, être davantage influencés par leurs environnements (école, pairs, famille) que le sous-groupe des ''élèves''.» (p. iv) «Les proportions d’adolescents rapportant que la famille influence fortement l’activité physique et l’alimentation sont de loin les plus élevées parmi les trois environnements d’influence. […] Même si la relation entre la famille et ces deux habitudes de vie semble évidente, il y a tout de même une différence significative entre les deux groupes d’adolescents, et ce, en faveur des ''sportifs''. Les familles des adolescents ''sportifs'' côtoient probablement plus d’acteurs faisant la promotion des saines habitudes de vie (entraîneurs, préparateurs physiques, nutritionnistes etc.) ce qui les exposeraient davantage à la promotion de la pratique d’activités physiques et d’une saine alimentation.» (p. 62)