L’abus rituel : le point de vue d’intervenantes en agression sexuelle
L’abus rituel : le point de vue d’intervenantes en agression sexuelle
L’abus rituel : le point de vue d’intervenantes en agression sexuelle
L’abus rituel : le point de vue d’intervenantes en agression sexuelles
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Référence bibliographique [1916]
Jacques, Christine. 2008. «L’abus rituel : le point de vue d’intervenantes en agression sexuelle». Mémoire de maîtrise, Gatineau, Université du Québec en Outaouais, Département de travail social.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : «Cette recherche qualitative comporte trois objectifs : documenter et analyser l’information concernant l’abus rituel, faire avancer les connaissances et la compréhension de ce genre d’abus à partir du point de vue d’intervenantes en agression sexuelle qui ont soutenu des femmes l’ayant subi dès la petite enfance, et contribuer à l’avancement des connaissances sur le sujet dans le milieu de l’intervention francophone.» (p. v)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «[...] 8 intervenantes qui pratiquent dans différents services d’aide aux victimes d’agression sexuelle et qui ont reconnu être intervenues auprès d’au moins deux survivantes d’abus rituel.» (p. v)
Instruments : Guide d’entrevue semi-structurée
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
«L’abus rituel demeure un sujet très peu connu des différents milieux d’intervention. Le manque de consensus quant à la façon de conceptualiser l’abus rituel et la controverse qui l’entoure nuisent à sa reconnaissance.» (p. v) Les résultats de l’étude menée auprès de 8 intervenantes en agression sexuelle «[...] sont présentés en trois parties distinctes soit les résultats décrivant l’ensemble des caractéristiques appartenant au concept de l’abus rituel, ceux permettant de prendre connaissance des séquelles causées par ce genre d’abus et ceux qui découlent des expériences des participantes dans leurs interventions auprès des survivantes d’abus rituel.» (p. v) Notamment, l’étude révèle que «[...] l’abus rituel est principalement perpétré dans un contexte familial. C’est d’ailleurs le cas pour la presque totalité des survivantes d’abus rituel : il est rarement question d’abus rituel où la famille n’est pas impliquée en premier. Deux d’entre elles parlent également d’une dynamique d’abus transmise d’une génération à l’autre.» p. 57