Identification et description de différents profils familiaux chez les familles d’adolescentes présentant une anorexie mentale

Identification et description de différents profils familiaux chez les familles d’adolescentes présentant une anorexie mentale

Identification et description de différents profils familiaux chez les familles d’adolescentes présentant une anorexie mentale

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Référence bibliographique [19125]

Blier, Christina. 2016. «Identification et description de différents profils familiaux chez les familles d’adolescentes présentant une anorexie mentale». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette étude vise à identifier et à décrire différents profils chez les familles d’adolescentes présentant une anorexie restrictive.» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«L’étude repose sur une analyse secondaire des données de l’étude1 de Pauzé et al. (2011) et a été réalisée auprès de 181 adolescentes (âgées entre 12 et 17 ans) présentant une anorexie mentale admises dans une des cliniques spécialisées des troubles des conduites alimentaires entre 2006 et 2015.» (p. iii)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Les résultats de notre étude ont permis d’identifier trois sous-groupes de familles. Le premier sous-groupe se caractérise par des problèmes concernant l’engagement relationnel et la qualité de la communication entre les membres de la famille et des relations jeunes-parents difficiles. Il est à noter que ce sous-groupe ne représente que 6,1% de l’échantillon. Le second sous-groupe se caractérise quant à lui par une distance relationnelle entre les membres de la famille, et ce, de façon marquée entre les adolescentes et leurs parents. Ce sous-groupe représente 27,6% de l’échantillon. Enfin, le troisième sous-groupe de familles semble présenter un fonctionnement normal selon les résultats aux questionnaires utilisés. Ce sous-groupe représente deux familles sur trois (66,3%). Enfin, il ne semble pas y avoir de relation entre la sévérité des profils cliniques des familles et la sévérité du trouble des conduites alimentaires telle que mesurée par l’indice de masse corporelle. Ces résultats suggèrent la pertinence de développer des interventions différenciées en fonction des profils familiaux et axées sur l’implication et le soutien des familles.» (p. iii)