La santé mentale et l’adaptation sociale des jeunes du secondaire

La santé mentale et l’adaptation sociale des jeunes du secondaire

La santé mentale et l’adaptation sociale des jeunes du secondaire

La santé mentale et l’adaptation sociale des jeunes du secondaires

| Ajouter

Référence bibliographique [19121]

Bilodeau, Andrea. 2016. La santé mentale et l’adaptation sociale des jeunes du secondaire. Québec: Gouvernement du Québec, Ministère de la Santé et des Services sociaux.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette publication présente les principaux résultats du tome 2 de l’EQSJS [Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois], Le visage des jeunes d’aujourd’hui: leur santé mentale et leur adaptation sociale.» (p. 5)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de «63 196 jeunes dans 470 écoles situées dans 16 régions sociosanitaires du Québec.» (p. 5)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Ce portrait succinct montre que la grande majorité des jeunes Québécois du secondaire ont un soutien social élevé dans leurs environnements (famille, amis et école), facteur qui les protège contre certains problèmes et favorise le développement sain. On peut également observer que les élèves du secondaire ont une bonne santé mentale, même si certains se situent à un niveau élevé de détresse psychologique […]. De plus, certains élèves ont été victimes de violence à l’école ou sur le chemin de l’école ou ont eu au moins une relation sexuelle forcée.» (p.23) «Environ trois élèves du secondaire sur quatre (75 %) ont un niveau élevé de soutien social dans leur environnement familial. Malgré des proportions comparables, la différence entre les filles et les garçons est significative (76 % et 74 %). […] De manière générale, la proportion d’élèves ayant un soutien social familial élevé est plus grande en 1re et 2e secondaire (77 %) qu’en 3e secondaire (72 %) ou en 4e et 5e secondaire (74 %). Selon l’indice de défavorisation matérielle et sociale, la proportion d’élèves ayant un soutien social familial élevé est plus importante chez ceux se situant dans le quintile très favorisé que chez ceux se situant dans le quintile très défavorisé (80 % et 68 %).» (p. 6)