L’École comme vecteur de transmission ou de discontinuité

L’École comme vecteur de transmission ou de discontinuité

L’École comme vecteur de transmission ou de discontinuité

L’École comme vecteur de transmission ou de discontinuités

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Référence bibliographique [1901]

Kanouté, Fasal. 2008. «L’École comme vecteur de transmission ou de discontinuité». Dans Familles migrantes au gré des ruptures : Tisser la transmission , sous la dir. de Michèle Vatz Laaroussi, Bolzman, Claudio et Lahlou, Mohamed, p. 242-256. Limonest (France): Éditions L’interdisciplinaire.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Dans le but de cerner les éléments qui cristallisent la discontinuité et ceux d’une certaine continuité, [dans ce chapitre] il sera abordé: l’implication en général des familles dans le vécu scolaire de l’enfant, surtout à travers les attentes de l’école; les éléments structurants des profils de famille immigrante; les regards croisés sur les relations école-familles immigrantes.» (p. 242-243)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’auteure utilise des propos de parents et d’élèves rencontrés dans le cadre d’une étude réalisée conjointement avec d’autres chercheures. Celle-ci fait notamment état d’une fiche dans Famili@ :
Vatz-Laaroussi, Michèle et al., Les différents modèles de collaboration familles-écoles : trajectoires de réussite pour des groupes immigrants et des groupes autochtones du Québec. Rapport de recherche

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Le fil conducteur de l’article se tisse autour de la problématique des relations école – familles immigrantes avec une contextualisation basée sur la réalité de Montréal, ville qui reçois près de 80% des immigrants qui s’installent au Québec.» (p. 242) Selon l’auteure, «[l]a relation école-famille, complexe en général, l’est davantage dans le cas de certaines familles immigrantes. Ces familles déclinent cette relation dans une partition intégrée faite de demande de reconnaissance, d’intégration et de réussite.» (p. 253) L’auteure termine son étude en évoquant des recommandations à la fois aux écoles et aux familles immigrantes. «Pour améliorer des relations avec les familles immigrante [sic], l’école doit faire siennes ce qui suit : comprendre, reconnaître, s’ouvrir et négocier pour être en congruence avec les objectifs de la mission éducative et avec les principes d’une société démocratique, sans pour autant mettre sous le boisseau des principes normatifs qui relèvent du ‘non-négociable’.» (p. 253-254) Suite à l’énumération des recommandations, l’auteure évoque que ces «[…] recommandations faites à l’école sont autant de clins d’œil aux responsabilités des familles dans la réussite de la coéducation.» (p. 254)