Une vieillesse en transition. Les solidarités intergénérationnelles en 2020

Une vieillesse en transition. Les solidarités intergénérationnelles en 2020

Une vieillesse en transition. Les solidarités intergénérationnelles en 2020

Une vieillesse en transition. Les solidarités intergénérationnelles en 2020s

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Référence bibliographique [1850]

Lavoie, Jean-Pierre, Guberman, Nancy et Olazabal, Ignace. 2008. «Une vieillesse en transition. Les solidarités intergénérationnelles en 2020». Dans La famille à l’horizon 2020 , sous la dir. de Gilles Pronovost, Dumont, Chantale, Bitaudeau, Isabelle et Coutu, Élizabeth, p. 269-286. Québec: Presses de l’Université du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Cette réflexion porte sur les relations entre les grands-parents et leurs petits-enfants, d’une part, et sur les solidarités à l’égard des parents âgés ayant des incapacités, d’autre part, telles que nous les entrevoyons en 2020. » (p. 270-271)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Les auteurs ont porté leur réflexion sur l’état des solidarités intergénérationnelles en 2020. À cette fin, ils ont examiné« [...] quelles sont les valeurs, les conceptions qui entrent (et entreront) en jeu dans la construction des solidarités entre générations. » (p. 272) Afin d’en obtenir un aperçu, ils ont analysé « [...] les cohortes charnières du baby-boom dont les valeurs et les conceptions risquent d’être partagées par les générations subséquentes (et même, quoique dans une mesure moindre, par leurs ascendants). » (p. 272) Les auteurs ont porté leur attention « [...] sur deux facettes des rapports intergénérationnels : la grand-parentalité et le soin aux parents âgés ayant des incapacités. » (p. 272) « Pour ce qui est des liens entre grands-parents et petits-enfants, ceux-ci semblent régis par un principe de ’bonne distance’. Les contacts ne doivent pas - et souvent ne peuvent pas - être trop fréquents et les grands-parents ne doivent pas trop s’engager dans l’éducation de leurs petits-enfants. La relation doit surtout rester dans le registre du ludique. [...] En ce qui concerne le soin aux parents âgés handicapés, celui-ci apparaît de plus en plus comme une rupture pour les femmes qui ont investi la sphère professionnelle et dont l’identité ne se limite plus à la prestation de soin et d’attention aux proches. Si la famille est responsable de prendre soin, cette responsabilité est circonscrite : le registre d’actions des familles se limite aux soins socioaffectifs, au monitoring de la situation et à la gestion de services. » (p. 282)