Étude des homicides intrafamiliaux commis par des personnes souffrant d’un trouble mental. Rapport de recherche

Étude des homicides intrafamiliaux commis par des personnes souffrant d’un trouble mental. Rapport de recherche

Étude des homicides intrafamiliaux commis par des personnes souffrant d’un trouble mental. Rapport de recherche

Étude des homicides intrafamiliaux commis par des personnes souffrant d’un trouble mental. Rapport de recherches

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Référence bibliographique [1825]

Léveillée, Suzanne et Lefebvre, Julie. 2008. Étude des homicides intrafamiliaux commis par des personnes souffrant d’un trouble mental. Rapport de recherche. Québec: Gouvernement du Québec, Ministère de la Santé et des Services Sociaux et Ministère de la Sécurité Publique.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«L’objectif principal du mandat confié a été de répertorier (sur une période de 10 ans, 1997-2007) les homicides familiaux commis sur le territoire de la province de Québec par des personnes souffrant d’un trouble mental et de dégager certaines caractéristiques, telles que les soins de santé et les services juridiques reçus par ces personnes.»

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Dossiers répertoriés au Bureau du Coroner en chef de Québec
Dossiers psychiatriques de l’Institut Philippe-Pinel de Montréal
Données non publiées de Statistique Canada (2007)
Plumitifs criminels

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Cette recherche a permis de répertorier tous les homicides (parricides, filicides et homicides conjugaux) commis dans la famille et ce, sur une période de 10 ans (de 1997 à 2007); et aussi de dresser un portrait des personnes qui commettent un homicide dans la famille et qui souffrent d’un trouble mental. Nous avons pu constater que le pourcentage d’individus qui ont été reconnus non criminellement responsables en raison d’un trouble mental diffère selon le type d’homicide.» (p. 23) «A partir des résultats de notre étude, nous sommes en mesure de constater que les homicides les moins fréquents en nombre sont ceux qui sont commis par des personnes reconnues non criminellement responsables en raison de trouble mental (l’ordre est le suivant : parricide, filicide et homicide conjugal).» (p. 25) «[...] [N]os résultats nous amènent à sept recommandations que nous avons divisé en cinq volets principaux : stratégie visant à informer les familles, stratégie visant à informer les intervenants, la mise en place d’un comité de travail, la poursuite de la recherche, stratégie visant les homicides familiaux les moins associés aux troubles mentaux graves.» (p. 25)