Que deviennent les très grands prématurés de 26 semaines et moins? : des parents témoignent, des médecins réagissent
Que deviennent les très grands prématurés de 26 semaines et moins? : des parents témoignent, des médecins réagissent
Que deviennent les très grands prématurés de 26 semaines et moins? : des parents témoignent, des médecins réagissent
Que deviennent les très grands prématurés de 26 semaines et moins? : des parents témoignent, des médecins réagissents
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Référence bibliographique [1813]
Louis, Sylvie. 2008. Que deviennent les très grands prématurés de 26 semaines et moins? : des parents témoignent, des médecins réagissent. Montréal: Éditions Enfants Québec, Éditions du CHU Sainte-Justine.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : Ce livre regroupe les témoignages de parents de grands prématurés. Il retrace ce qui est arrivé à ces enfants et alimente la réflexion sur la néonatalogie et la prématurité extrême.
2. Méthode
Échantillon/Matériau : En première partie, l’auteure recueille les témoignages des parents de treize grands prématurés. En deuxième partie, huit spécialistes réagissent aux propos des parents.
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
« Les bébés nés entre 22 et 26 semaines de grossesse forment une catégorie particulière se situant aux limites de la viabilité. Alors que c’était impensable il y a 25 ans, la médecine de pointe sauve aujourd’hui nombre de ces bébés. Dix ans plus tard, que sont devenus Catherine, Gabriel, Éloïse, Tarik et son frère Amine, Olivier et son jumeau Christophe? Dans ce recueil qui plonge au cœur de la vie des familles et qui s’adresse tant aux parents qu’aux professionnels concernés par la prématurité, une vingtaine de parents racontent le parcours de leur enfant, le combat bien souvent mené au jour le jour pour améliorer son sort, l’impact de sa très grande prématurité sur la qualité de la vie familiale, leur fierté, leurs deuils, leurs frustrations ainsi que leurs espérances. Dans la seconde partie du livre, six médecins et deux membres du milieu associatif réagissent à ces témoignages. Ils apportent avec compassion, engagement et générosité des pistes de réflexion sur la pratique de la néonatalogie destinée aux bébés nés à la limite de la viabilité, sur l’éthique ainsi que sur la réponse de la société aux besoins particuliers des familles affectées par les conséquences de la prématurité extrême. » (quatrième de couverture)