La migration interrégionale au Québec en 2014-2015 : la région des Laurentides sort grande gagnante, la Côte-Nord grande perdante
La migration interrégionale au Québec en 2014-2015 : la région des Laurentides sort grande gagnante, la Côte-Nord grande perdante
La migration interrégionale au Québec en 2014-2015 : la région des Laurentides sort grande gagnante, la Côte-Nord grande perdante
La migration interrégionale au Québec en 2014-2015 : la région des Laurentides sort grande gagnante, la Côte-Nord grande perdantes
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Référence bibliographique [17918]
St-Amour, Martine. 2016. «La migration interrégionale au Québec en 2014-2015 : la région des Laurentides sort grande gagnante, la Côte-Nord grande perdante ». Coup d’oeil sociodémographique, vol. 46, p. 1-16.
Intentions : «Ce bulletin présente les principaux résultats découlant des échanges migratoires entre les régions administratives et les MRC [municipalité régionale de comté] du Québec entre le 1er juillet 2014 et le 1er juillet 2015.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «Les statistiques de migration interne proviennent d’une compilation des données du Fichier d’inscription des personnes assurées (FIPA) de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).» (p. 2)
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«Parmi les faits saillants, mentionnons que si la région de Montréal demeure grandement déficitaire dans ses échanges migratoires avec les autres régions, ses pertes se réduisent légèrement pour une cinquième année consécutive. Lanaudière et Laval en subissent les contrecoups et voient leurs gains s’amenuiser considérablement. La région des Laurentides voit plutôt ses gains s’accroître et se maintient en tête parmi les régions gagnantes. Les régions plus éloignées des grands centres affichent quant à elles toutes un solde migratoire négatif, la Côte-Nord étant celle où les pertes sont proportionnellement, et de loin, les plus importantes.» (p. 1) L’auteure analyse aussi les statistiques concernant les migrations familiales. Elle remarque notamment que «le déficit chez les 0-14 ans indique que la rétention des familles avec enfants reste un enjeu pour Montréal. […] Les quatre régions […] adjacentes [à Montréal] ont en commun d’être déficitaires chez les 15-24 ans, mais de faire des gains au chapitre des migrations familiales.» (p. 6)