Soutien parental et procédures des élèves dans l’apprentissage de l’orthographe lexicale

Soutien parental et procédures des élèves dans l’apprentissage de l’orthographe lexicale

Soutien parental et procédures des élèves dans l’apprentissage de l’orthographe lexicale

Soutien parental et procédures des élèves dans l’apprentissage de l’orthographe lexicales

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Référence bibliographique [17887]

Lévesque, Jean-Yves. 2014. Soutien parental et procédures des élèves dans l’apprentissage de l’orthographe lexicale. Montréal: Gouvernement du Québec, Fonds de recherche Société et culture, no 2011-ER-144358.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Les objectifs de la recherche sont de 1) connaître la réalité relative à la situation d’étude à domicile de l’orthographe lexicale par les élèves du 1er cycle du primaire, 2) connaître la réalité vécue par les parents dans le cadre du soutien qu’ils exercent auprès de leur enfant et 3) comparer ces réalités en fonction du milieu socioéconomique de l’école, du sexe des élèves et de leur niveau de compétence en orthographe lexicale (avec difficulté – sans difficulté) ainsi que du sexe des parents.» (p. 5)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Dans cette recherche, 536 informateurs ont été interrogés (272 élèves et 264 parents) dans 7 régions du Québec (15 commission scolaires).» (p. 8)

Instruments :
Guide d’entretien

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Un premier constat qui se dégage des propos émis par les élèves est que ceux-ci perçoivent massivement l’apprentissage de l’orthographe lexicale comme un objet de développement de compétences en écriture et non comme un objet d’évaluation lié à la performance scolaire. À ce propos, presque la totalité des parents interrogés accordent une importance à cette tâche orthographique à domicile et pour la majorité d’entre eux, elle est importante pour le développement de compétences en écriture. […] Nos analyses permettent également de relever les propos du côté des parents quant à leur perception du niveau de compétence de leur enfant. Rappelons que l’échantillon de notre recherche comprenait un nombre sensiblement égal d’élèves réputés avoir des difficultés en orthographe lexicale et d’élèves qui n’en présentent pas selon le jugement porté par les enseignante. Or, on constate une discordance entre la perception des parents et le jugement de l’enseignant, notamment pour les élèves considérés en difficulté. En effet, plus de la moitié des parents des élèves de première année et la moitié des parents des élèves de deuxième année considèrent que leur enfant ne présente pas de difficulté pour cette tâche d’apprentissage alors que l’enseignant l’a identifié comme étant en difficulté en orthographe lexicale.» (p. 11-12)