Intervention sociojudiciaire : évolution de la réponse de l’État québécois à la violence conjugale selon le processus d’élaboration des politiques sociales

Intervention sociojudiciaire : évolution de la réponse de l’État québécois à la violence conjugale selon le processus d’élaboration des politiques sociales

Intervention sociojudiciaire : évolution de la réponse de l’État québécois à la violence conjugale selon le processus d’élaboration des politiques sociales

Intervention sociojudiciaire : évolution de la réponse de l’État québécois à la violence conjugale selon le processus d’élaboration des politiques socialess

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Référence bibliographique [17883]

Lalande, Célyne. 2015. «Intervention sociojudiciaire : évolution de la réponse de l’État québécois à la violence conjugale selon le processus d’élaboration des politiques sociales». Dans Actes du 7e Colloque étudiant du Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes (CRI-VIFF) tenu à Montréal le 14 novembre 2014 , sous la dir. de Pamela Alvarez-Lizotte, Lalande, Célyne, Dumont, Annie et Plante, Nathalie, p. 52-62. Montréal: Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes (CRI-VIFF), Coll. «Réflexions» no 24.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
La présente étude tente «d’appréhender en quoi consiste l’ISJ [intervention sociojudiciaire] et de comprendre comment ce type d’intervention s’organise au Québec […].» (p. 58)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’étude est basée sur différents textes de loi québécois reliés à la violence conjugale (VC).

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


À la lumière des constats réalisés par l’auteure, celle-ci conclut que «l’ISJ semble intimement liée à la croyance qu’il est nécessaire de mettre en place une réponse globale pour contrer le phénomène de la VC […]. Or, cette croyance ne semble pas s’être actualisée dans les faits puisque l’intervention en VC demeure divisée selon des clientèles cibles et des mandats distincts. En second lieu, que l’ISJ s’appuie potentiellement sur la formation des intervenant.e.s et sur la mise en place de mécanismes de concertation. Ce constat est cohérent avec les propos tenus dans la Politique selon lesquels ces deux éléments font partie des conditions essentielles à la réussite de l’intervention en VC […]. En troisième lieu, que l’organisation actuelle de l’intervention en VC au Québec fait en sorte que chaque région développe des façons de faire adaptées à ses réalités et que de ce fait, il est probable que l’ISJ se manifeste sous des formes diverses. Il serait donc probablement plus adéquat de parler des ISJ plutôt que de la catégorie ‘intervention sociojudiciaire’. Ceci est cohérent avec le fait que les chercheurs n’investiguent pas l’ISJ en tant que continuum de pratiques, mais réalisent plutôt des travaux sur les différents types d’intervention dans différents contextes spécifiques à la VC.» (p. 59-60)