Les Projets de préparation à l’emploi : un outil efficient pour les femmes éloignées du marché du travail. Avis présenté par le Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre à la Commission des partenaires du marché du travail

Les Projets de préparation à l’emploi : un outil efficient pour les femmes éloignées du marché du travail. Avis présenté par le Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre à la Commission des partenaires du marché du travail

Les Projets de préparation à l’emploi : un outil efficient pour les femmes éloignées du marché du travail. Avis présenté par le Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre à la Commission des partenaires du marché du travail

Les Projets de préparation à l’emploi : un outil efficient pour les femmes éloignées du marché du travail. Avis présenté par le Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre à la Commission des partenaires du marché du travails

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Référence bibliographique [17859]

Drissi, Yasmina. 2015. Les Projets de préparation à l’emploi : un outil efficient pour les femmes éloignées du marché du travail. Avis présenté par le Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre à la Commission des partenaires du marché du travail. Sainte-Thérèse (Québec): Comité consultatif Femmes en développement de la main-d’œuvre.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Le présent avis fait un portrait de la situation actuelle quant à l’intégration des femmes au marché du travail au Québec.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«L’intégration et le maintien en emploi des femmes reposent sur une adaptation aux exigences du milieu de travail construit davantage sur le modèle du travailleur sans responsabilités familiales, ce qui pénalise les femmes. En effet, qu’elles soient en couple ou monoparentales, les femmes sont associées aux responsabilités liées aux enfants et à l’organisation du foyer (ménage, repas, etc.). Ces difficultés significatives en matière de conciliation des responsabilités familiales et professionnelles sont plus problématiques pour celles qui travaillent dans des secteurs caractérisés par des horaires atypiques, la rotation, le travail à temps partiel, souvent incompatibles avec les horaires des services de garde ou des écoles. D’ailleurs, le réseau des centres de la petite enfance, tel qu’il est actuellement développé, ne permet pas un accès équitable aux places de garderie, notamment dans les quartiers et les régions défavorisées sur le plan économique. À cette situation peut s’ajouter le manque d’accès au transport en commun pour les femmes en région et l’absence de transport adapté nécessaire aux femmes ayant une limitation fonctionnelle. En somme, le manque de ressources adaptées et les conditions de travail du marché québécois, souvent combinés à des problèmes personnels ou de santé, conduisent les femmes à se retirer du marché du travail, parfois pendant de nombreuses années.» (p. 9)