La place des hommes dans la politique québécoise en matière de violence conjugale : pour une reconnaissance de la diversité des contextes et des perspectives

La place des hommes dans la politique québécoise en matière de violence conjugale : pour une reconnaissance de la diversité des contextes et des perspectives

La place des hommes dans la politique québécoise en matière de violence conjugale : pour une reconnaissance de la diversité des contextes et des perspectives

La place des hommes dans la politique québécoise en matière de violence conjugale : pour une reconnaissance de la diversité des contextes et des perspectivess

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Référence bibliographique [17810]

Trépanier, Mario. 2015. «La place des hommes dans la politique québécoise en matière de violence conjugale : pour une reconnaissance de la diversité des contextes et des perspectives ». Intervention, no 142, p. 111-119.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Compte tenu de l’évolution des sensibilités et des connaissances en matière de violence conjugale et considérant la diversité des dynamiques, des contextes et des conséquences qui y sont associées, l’auteur appelle à une révision de la Politique gouvernementale en matière de violence conjugale (1995) de manière à mieux répondre aux besoins des personnes touchées, en particulier, les hommes.» (p. 111)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«En reconnaissant la violence comme une menace aux droits des personnes et en favorisant la mise en place d’un ensemble d’activités de prévention et d’intervention, la politique d’intervention en matière de violence conjugale (1995) a permis de susciter l’engagement d’un grand nombre d’intervenants et de milieux pour atteindre l’objectif de réduction de la violence. La définition proposée de la violence conjugale dans la politique a conduit à orienter principalement les actions vers le soutien et la protection des victimes féminines. L’évolution des sensibilités et des connaissances fait évoluer notre regard et permet de mieux tenir compte de la diversité des dynamiques de violence, des contextes et des facteurs de risque, et ce, d’une manière qui permet d’inclure l’ensemble des personnes touchées, indépendamment de leur sexe. L’avancée des connaissances indique que l’on doit tenir compte d’autres facteurs que l’oppression de genre dans l’analyse de la violence conjugale.» (p. 117)