La scolarisation à la maison : pour le respect du droit à l’éducation des enfants

La scolarisation à la maison : pour le respect du droit à l’éducation des enfants

La scolarisation à la maison : pour le respect du droit à l’éducation des enfants

La scolarisation à la maison : pour le respect du droit à l’éducation des enfantss

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Référence bibliographique [17770]

Dowd, Marc-André, McLaughlin, Joëlle et Rioux, Marc. 2015. La scolarisation à la maison : pour le respect du droit à l’éducation des enfants. Québec: Gouvernement du Québec, Protecteur du citoyen.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce rapport présente les principales difficultés qu’éprouvent les parents et les instances scolaires dans l’établissement de la collaboration nécessaire à la réalisation de projets de scolarisation à la maison.» (p. 4)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Dans certains cas, la scolarisation à la maison découle de problèmes que les parents ou leur enfant ont rencontrés à l’école (intimidation, conflit avec un professeur, notamment) et rendant le lien de confiance plus fragile avec les intervenants scolaires. Ces derniers font alors des tentatives en vue de résoudre les problèmes en question (ex. : médiation entre parents et enseignants, changement d’école, mesures proposées pour régler un problème d’intimidation ou de mésadaptation) et de maintenir la fréquentation de l’école. Malgré cela, la décision des parents peut être maintenue. À défaut de pouvoir compter sur les services d’un tiers qui pourrait agir à titre de médiateur en cas de litige, des parents interpellent des associations de parents dont les représentants tentent, avec ou sans succès, d’intervenir auprès des autorités scolaires en vue de prévenir ou de régler les conflits. Si certains intervenants scolaires apprécient cette intervention, d’autres relatent que les conseils prodigués aux parents par un représentant légal mandaté par une association risquent plutôt de nuire à la bonne conduite des échanges avec les parents. Les familles et les intervenants scolaires considèrent ne pas avoir de recours efficaces favorisant la médiation, pour prévenir ou régler les situations conflictuelles et parvenir à établir les conditions d’une collaboration fructueuse.» (p. 21)