L’abandon scolaire en milieu rural marocain : une analyse interactionniste du point de vue des familles
L’abandon scolaire en milieu rural marocain : une analyse interactionniste du point de vue des familles
L’abandon scolaire en milieu rural marocain : une analyse interactionniste du point de vue des familles
L’abandon scolaire en milieu rural marocain : une analyse interactionniste du point de vue des familless
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Référence bibliographique [17737]
Gueddari, Khalid. 2015. «L’abandon scolaire en milieu rural marocain : une analyse interactionniste du point de vue des familles». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Département d’administration et fondements de l’éducation.
Intentions : «Cette recherche appréhende le phénomène de l’abandon scolaire en contexte rural marocain à partir du point de vue privilégié des familles sur cette question.» (p. ii)
Questions/Hypothèses : «Quelles représentations les familles de milieux ruraux ont-elles de l’école marocaine et qui participeraient au processus conduisant éventuellement à l’abandon de l’école par leur(s) enfant(s)? Quels sont leurs rapports à l’école?» (p. 54)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’échantillon compte «six familles de la région rurale de Tidili […].» (p. ii)
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
«Une analyse de contenu telle que proposée par Bardin (dans Negura, 2006) a été mobilisée sur les verbatim des entretiens pour rendre compte de leur point de vue. Celle-ci a conduit à dégager deux registres d’analyse, tels que proposés par Morrissette (2010) pour exploiter d’au plus près le matériau d’analyse. […] Le premier s’inscrit dans une logique descriptive et restitutive; il rend compte du point de vue des familles selon deux catégories, soit le rapport à l’école et le rapport à la société. Il ressort de ce registre l’importance des rapports entre les familles et les enseignants dans le phénomène de l’abandon scolaire. […] Le deuxième registre s’inscrit dans une logique plus conceptualisante; il propose un nouvel éclairage du point de vue des familles à partir d’une perspective interactionniste (Becker, 1982) qui permet de poser un regard transversal sur le registre précédent. C’est ainsi qu’ont émergé des négociations sociales conduisant à l’abandon scolaire d’un enfant, lesquels sont marqués par des ’modes d’interaction’ entre les familles et l’école et des conventions sociales, deux niveaux d’interaction qui renseignent la dynamique évolutive conduisant à l’abandon scolaire d’un enfant.» (p. ii-iii)