Étude exploratoire de l’incidence de l’intimidation sur le parcours scolaire et la construction identitaire d’étudiants universitaires
Étude exploratoire de l’incidence de l’intimidation sur le parcours scolaire et la construction identitaire d’étudiants universitaires
Étude exploratoire de l’incidence de l’intimidation sur le parcours scolaire et la construction identitaire d’étudiants universitaires
Étude exploratoire de l’incidence de l’intimidation sur le parcours scolaire et la construction identitaire d’étudiants universitairess
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Référence bibliographique [17730]
Patton, Suzy. 2016. «Étude exploratoire de l’incidence de l’intimidation sur le parcours scolaire et la construction identitaire d’étudiants universitaires». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Département des sciences de l’éducation.
Intentions : «Ce mémoire a pour but d’examiner la façon dont s’est opérée la construction identitaire d’étudiants et d’étudiantes universitaires ayant subi de l’intimidation à l’école secondaire. Il vise en outre à mieux cerner le processus de résilience qui a conduit à la persévérance jusqu’à l’université.» (p. iii)
Questions/Hypothèses : «Ce mémoire vise [...] à répondre à la question suivante: Dans quelle mesure le fait d’avoir été victime d’intimidation à l’école secondaire a-t-il influencé la construction identitaire d’étudiantes et d’étudiants universitaires québécois et, de là, la poursuite de leur parcours scolaire?» (p. 2)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «[U]n échantillon composé de 18 participants a été retenu pour l’analyse. […] Au total, 14 femmes et 4 hommes composent l’échantillon. L’âge des participants variait entre 20 et 36 ans au moment des entrevues […].» (p. 44)
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
«Le premier type [de parcours], où la persévérance scolaire a été compromise, est caractérisé par le fait que l’intimidation a agi comme un frein à la poursuite d’un parcours scolaire positif. Le deuxième type, le parcours axé sur la transition, met en lumière des répercussions d’ordre contextuel. Puis, pour le parcours axé sur la réussite, l’intimidation a poussé les étudiants à s’investir davantage sur les plans scolaire et professionnel et à vivre des réussites. Par ailleurs, cette étude apporte un éclairage descriptif quant aux répercussions de l’intimidation sur la persévérance scolaire et le choix de carrière.» (p. iii) L’auteure note que «les rétroactions de la famille et des pairs sont distinctes et que, bien que la famille peut renvoyer des rétroactions positives au regard de l’identité de l’adolescent intimidé, les rétroactions des pairs auraient davantage de poids […].» (p. 75-76) L’auteure mentionne également le support familial comme facteur de protection: «[h]uit des 18 participants ont abordé le fait d’avoir reçu un certain soutien comme étant un facteur de protection. Ce soutien est souvent venu de la famille, qu’elle soit au courant ou non de la situation d’intimidation qui était vécue […].» (p. 78)