L’implication des bénéficiaires dans la mise en œuvre du programme de renforcement de la nutrition du Sénégal : les femmes de Vélingara, un exemple plein d’espoir

L’implication des bénéficiaires dans la mise en œuvre du programme de renforcement de la nutrition du Sénégal : les femmes de Vélingara, un exemple plein d’espoir

L’implication des bénéficiaires dans la mise en œuvre du programme de renforcement de la nutrition du Sénégal : les femmes de Vélingara, un exemple plein d’espoir

L’implication des bénéficiaires dans la mise en œuvre du programme de renforcement de la nutrition du Sénégal : les femmes de Vélingara, un exemple plein d’espoirs

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Référence bibliographique [17717]

Diouf, Ndeye Thiab. 2014. «L’implication des bénéficiaires dans la mise en œuvre du programme de renforcement de la nutrition du Sénégal : les femmes de Vélingara, un exemple plein d’espoir». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Faculté de médecine.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Notre étude tentera de montrer comment la participation des bénéficiaires dans la mise en œuvre des projets qui leur sont destinés contribue à mieux résoudre les problèmes de santé de leurs enfants.» (p. 10)

Questions/Hypothèses :
L’auteure tente de répondre à ces questions suivantes: «Comment l’implication des femmes de Vélingara, Sénégal dans la gestion du PRN [programme de renforcement de la nutrition] contribue-t-elle à la valorisation de leur potentiel? Cette valorisation les aide-t-elle à prendre efficacement en charge les problèmes de nutrition/santé des enfants de moins de cinq ans au niveau du village?» (p. 10)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’étude est basée sur la participation de «20 mères, gardiennes d’enfants et femmes volontaires âgées entre 19 et 65 ans.» (p. III) Toutes les participantes ont été recrutées à Vélingara, au Sénégal.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«La santé du couple mère-enfant est devenue une priorité dans les interventions en santé publique. Ce choix est motivé par les différentes difficultés auxquelles cette cible est confrontée. Ces dernières sont liées aux mutations socio-économiques que les pays en voie de développement ont connu [sic] ces dernières années. Le Sénégal n’est pas en reste dans cette politique d’amélioration des conditions de vie des femmes et des enfants. C’est dans cette logique que le gouvernement du Sénégal a mis en place des programmes de nutrition communautaires en vue d’atteindre ses objectifs en matière de survie de l’enfant.» (p. 95) À la lumière de ses recherches, les résultats montrent que «toutes les femmes qui ont participé à l’étude affirment avoir senti une nette différence entre la manière dont elles vivaient avant et durant leur adhésion au programme. La majorité des participantes soutiennent qu’avant leur participation aux activités, elles avaient une faible connaissance en nutrition/santé. Selon elles, les femmes avaient toujours eu une représentation erronée des maladies infantiles, de sa manifestation et des soins à apporter au jeune enfant. Mais avec l’adhésion au projet, elles ont pu développer des stratégies leur permettant de mieux cerner les difficultés liées aux problèmes de santé de leurs enfants.» (p. 95-96)