Garde en établissement de santé, évaluation psychiatrique et accès aux soins en santé mentale : point de vue des familles
Garde en établissement de santé, évaluation psychiatrique et accès aux soins en santé mentale : point de vue des familles
Garde en établissement de santé, évaluation psychiatrique et accès aux soins en santé mentale : point de vue des familles
Garde en établissement de santé, évaluation psychiatrique et accès aux soins en santé mentale : point de vue des familless
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Référence bibliographique [17711]
Larochelle, Denise. 2015. «Garde en établissement de santé, évaluation psychiatrique et accès aux soins en santé mentale : point de vue des familles». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, École de travail social.
Intentions : «Cette recherche qualitative et exploratoire sur le point de vue de familles à l’égard de la garde en établissement d’un proche présente les principales préoccupations des familles entourant la mise en application de la Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui (ci-après Loi sur la protection des personnes) qui encadre la garde en établissement de santé au Québec.» (p. vii)
Questions/Hypothèses : «Quel est le point de vue des familles (ou proches aidants) sur leur expenence entourant la garde en établissement d’un proche dont l’état mental a présenté un danger pour lui-même ou pour autrui?» (p. 23)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’échantillon est composé de huit personnes «qui ont vécu des expériences en lien avec la Loi sur la protection des personnes qui encadre la garde en établissement.» (p. 42)
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
«Les préoccupations des familles sont multiples et concernent aussi bien le critère fondamental et unique de l’application de la Loi, à savoir le danger, que l’évaluation psychiatrique visant à déterminer la nécessité d’une telle garde, que la séparation entre la garde et les soins, que l’accès aux soins en santé mentale. Elles concernent également la collaboration nécessaire avec les établissements de santé chargés de l’application de la Loi sur la protection des personnes, mais aussi avec les autres acteurs institutionnels impliqués lors d’une décision de garde en établissement, les services d’aide en situation de crise, les services policiers et le tribunal.» (p. 129)