Les dynamiques d’établissement, les enjeux scolaires et les ressources communautaires. Le point de vue de parents d’origine haïtienne et d’intervenants

Les dynamiques d’établissement, les enjeux scolaires et les ressources communautaires. Le point de vue de parents d’origine haïtienne et d’intervenants

Les dynamiques d’établissement, les enjeux scolaires et les ressources communautaires. Le point de vue de parents d’origine haïtienne et d’intervenants

Les dynamiques d’établissement, les enjeux scolaires et les ressources communautaires. Le point de vue de parents d’origine haïtienne et d’intervenantss

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Référence bibliographique [17639]

Kanouté, Fasal, Charrette, Josée, André, Joslyne Vierginat, Rachédi, Lilyane et Rahm, Jrene. 2014. «Les dynamiques d’établissement, les enjeux scolaires et les ressources communautaires. Le point de vue de parents d’origine haïtienne et d’intervenants ». Diversité urbaine, vol. 14, no 2, p. 31-50.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet article aborde en général les enjeux et défis de la scolarisation en contexte urbain pluriethnique et défavorisé.» (p. 31)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«[N]ous avons rejoint au total trois membres de la direction des écoles, sept enseignants, sept intervenants communautaires et 31 duos élève-parent.» (p. 37)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«[U]ne compréhension accrue du lien entre projet migratoire familial et projet scolaire de l’élève permettrait de mieux accompagner la réussite scolaire des élèves issus de l’immigration et d’anticiper différents écueils susceptibles d’entraver la relation école-famille et le suivi scolaire assuré par les parents.» (p. 47) «C’est sur cette toile de fond des péripéties migratoires que s’inscrit le (non-) rapport du parent à l’école et à la scolarisation de son enfant. Certains parents soulignent que leur connaissance de l’école est corrélée à leur degré de présence-contact avec cette dernière. Autrement dit, ils connaissent de mieux en mieux l’école parce qu’ils y font du bénévolat, qu’ils parlent aux enseignants en venant reconduire ou chercher leurs enfants, qu’ils assistent aux réunions parents-enseignant, etc. En ce qui a trait aux parents qui affirment ne pas bien connaître l’école, ils évoquent le fait que leurs enfants n’ont pas de comportements répréhensibles ou de difficultés scolaires, ne fréquentent pas l’école depuis longtemps ou que la famille n’est au Québec que depuis peu.» (p. 40)