Portrait socio-économique de la communauté anglophone au Québec et dans ses régions

Portrait socio-économique de la communauté anglophone au Québec et dans ses régions

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Portrait socio-économique de la communauté anglophone au Québec et dans ses régionss

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Référence bibliographique [1762]

Parenteau, Philippe, Magnan, Marie-Odile, Thibault, Caroline V. et Gauthier, Madeleine. 2008. Portrait socio-économique de la communauté anglophone au Québec et dans ses régions. Québec: Institut national de la recherche scientifique - Centre Urbanisation Culture Société, Observatoire Jeunes et Société.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Ce portrait socio-économique vise à améliorer la connaissance de la communauté anglophone du Québec. » (p. v)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« Les données présentées proviennent de différentes banques de données et de rapports de recherche, tous basés sur les recensements de Statistique Canada. » (p. v)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


L’étude vise à offrir un portrait complet de la population anglophone sur l’ensemble du territoire québécois. « La situation des anglophones est comparée, lorsque cela s’avère pertinent, à la situation des francophones et parfois à celle des allophones. Dans [ce] présent rapport, les termes anglophones, francophones et allophones désignent les individus selon leur langue maternelle. » (p. v) La question de la famille est aussi abordée par les auteurs. En se basant sur des données statistiques, ils affirment que « […] la majorité des anglophones réside avec un conjoint qui est de langue maternelle anglaise (p. vii). Aussi, « […] les enfants de moins de 18 ans demeurant dans une famille où les deux parents sont de langue maternelle anglaise ont presque tous l’anglais comme langue maternelle (97,3 %). » (p. vii) Toutefois, « […] la situation est différente lorsqu’un des deux conjoints a le français comme langue maternelle. Dans ces couples, moins de 60 % des anglophones utilisent le plus souvent l’anglais à la maison, la majorité des enfants de moins de 18 ans ont plutôt le français comme langue maternelle (55,7 %). » (p. vii)