De la garderie aux études postsecondaires : l’éducation des enfants des CLOSM dans les établissements d’enseignement de la minorité

De la garderie aux études postsecondaires : l’éducation des enfants des CLOSM dans les établissements d’enseignement de la minorité

De la garderie aux études postsecondaires : l’éducation des enfants des CLOSM dans les établissements d’enseignement de la minorité

De la garderie aux études postsecondaires : l’éducation des enfants des CLOSM dans les établissements d’enseignement de la minorités

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Référence bibliographique [17618]

Landry, Rodrigue. 2014. «De la garderie aux études postsecondaires : l’éducation des enfants des CLOSM dans les établissements d’enseignement de la minorité». Dans La vie dans une langue officielle minoritaire au Canada , sous la dir. de (dir.), p. 95-146. Québec: Presses de l’Université Laval.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le présent chapitre analyse le degré auquel les enfants des membres des communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM) fréquentent des garderies, des maternelles et des écoles fonctionnant dans la langue de la minorité.» (p. 95)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’auteur utilise les données issues de l’enquête postcensitaire de Statistique Canada (2007).

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Notre étude fait ressortir plus de similitudes que de dissimilitudes entre les CLOSM dans les taux d’inscription des enfants dans les établissements d’enseignement de la minorité. Pour chacun des minorités de langue officielle, moins de la moitié des enfants sont socialisés dans la langue de la minorité à la garderie et plus de six enfants sur dix mènent leurs activités parascolaires dans la langue de la majorité. Toutefois, une partie appréciable des parents aurait préféré une garderie et des activités préscolaires dans la langue minoritaire, beaucoup plus, d’ailleurs, chez les parents appartenant à l’échantillon francophone hors Québec que chez les répondants anglophones du Québec. […] Les inscriptions dans la langue de la minorité à la maternelle sont plus élevées chez les francophones hors Québec (environ six sur dix) que chez les anglophones de cette province […]. Quant aux inscriptions à l’école, celles qui se rapportent à un établissement d’enseignement de langue française pour les enfants de parents [francophones] sont relativement faibles (50,45%) mais quand même plus élevées que celles des enfants de répondants [anglophones]. Ces pourcentages reflètent fort probablement la forte hétérogénéité de la communauté de langue anglaise au Québec.» (p. 138-139)