Étude du réseau social de la fratrie adulte d’une personne présentant la trisomie 21

Étude du réseau social de la fratrie adulte d’une personne présentant la trisomie 21

Étude du réseau social de la fratrie adulte d’une personne présentant la trisomie 21

Étude du réseau social de la fratrie adulte d’une personne présentant la trisomie 21s

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Référence bibliographique [17594]

Saint-André, Marie-Pier, Jourdan-Ionescu, Colette et Julien-Gauthier, Francine. 2014. «Étude du réseau social de la fratrie adulte d’une personne présentant la trisomie 21». Dans Recherche, droits et gouvernance en faveur de la personne et de ses proches , sous la dir. de Jean-Claude Kalubi, Tremblay, Mireille, Gascon, Hubert et Bouchard, Jean-Marie. Actes du XIIe Congrès de l’AIRHM « Recherche, droits et gouvernance en faveur de la personne et de ses proches » tenu à Mont-Tremblant les 25-28 août 2012. Montréal: Les éditions de la Collectivité.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Cette étude s’intéresse «aux personnes qui remplaceront les parents dans la prise en charge des soins [de personnes ayant une déficience intellectuelle].» (p. 219)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Neuf participants (5 sœurs et 4 frères) âgés en moyenne de 24,5 ans (âges entre 18 et 31ans) ont participé à cette étude exploratoire.»

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Les résultats de cette étude révèlent que des différences existent entre les frères et les sœurs d’une personne présentant une T21 [trisomie 21] quant à leur réseau de soutien social. D’abord, contrairement à ce qui aurait pu être attendu, il n’y a que peu de différences entre les sexes. Les variables majeures semblent être la taille de la fratrie, le rang dans la famille de même que le fait de cohabiter actuellement ou non avec le frère ou la sœur porteur d’une T21. […] Au niveau des personnes pour lesquelles les participants expriment un attachement, il est étonnant de constater que seule une minorité nomme leur frère ou sœur présentant une T21. En fait, ils rapportent davantage être attachés à leurs parents qu’à leurs frères et sœurs en général. Ceux qui l’indiquent sont âgés de plus de 26 ans, sont ainés de famille, proviennent d’une fratrie nombreuse et cohabitent avec le frère ou la sœur présentant une T21.» (p. 224)