Les besoins des aînés atteints d’une maladie incurable recevant des services de soins palliatifs à domicile : perceptions et adéquation

Les besoins des aînés atteints d’une maladie incurable recevant des services de soins palliatifs à domicile : perceptions et adéquation

Les besoins des aînés atteints d’une maladie incurable recevant des services de soins palliatifs à domicile : perceptions et adéquation

Les besoins des aînés atteints d’une maladie incurable recevant des services de soins palliatifs à domicile : perceptions et adéquations

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Référence bibliographique [17569]

Loubier, Julie. 2015. «Les besoins des aînés atteints d’une maladie incurable recevant des services de soins palliatifs à domicile : perceptions et adéquation». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette recherche, de nature exploratoire et descriptive, a pour but de documenter les besoins des aînés atteints d’une maladie incurable et la réponse d’aide reçue par les services de soins palliatifs à domicile.» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de huit «personnes de 65 ans et plus en phase terminale d’une maladie incurable, habitant la région de Québec, recevant des services à domicile dans le contexte de l’offre de services à domicile (Centre de santé et de services sociaux) découlant de la Politique en soins palliatifs de fin de vie (MSSS, 2004).» (p. 44)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«En résumé, le domicile familial est le milieu de vie privilégié parmi les participants de l’étude malgré que leurs questionnements, qui demeurent à ce jour sans réponse, quant aux possibilités de rendre leur souhait réel. Cependant, l’idée de devenir un fardeau pour les familles ainsi que les craintes anticipées quant aux malaises, difficultés respiratoires et douleurs semblent ébranler leur désir idéalisé. La Maison Michel-Sarrazin est le milieu de vie alternatif privilégié dans ces cas, contrairement aux milieux institutionnels qui semblent écartés de leurs préférences. Néanmoins, la question d’actualité portant sur l’aide médicale à mourir est réitérée par un participant nommant cette solution envisageable s’il considère sa qualité de vie très restreinte, qu’il n’y ait aucun milieu de fin de vie répondant à ses désirs ou que sa condition soit trop lourde pour être prise en charge par sa famille.» (p. 87)