Les perceptions d’aînés atteints d’un trouble neurocognitif dégénératif et vivant à domicile : regard sur leur expérience selon une perspective centrée sur les forces

Les perceptions d’aînés atteints d’un trouble neurocognitif dégénératif et vivant à domicile : regard sur leur expérience selon une perspective centrée sur les forces

Les perceptions d’aînés atteints d’un trouble neurocognitif dégénératif et vivant à domicile : regard sur leur expérience selon une perspective centrée sur les forces

Les perceptions d’aînés atteints d’un trouble neurocognitif dégénératif et vivant à domicile : regard sur leur expérience selon une perspective centrée sur les forcess

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Référence bibliographique [17561]

Bouchard, Karelle. 2014. «Les perceptions d’aînés atteints d’un trouble neurocognitif dégénératif et vivant à domicile : regard sur leur expérience selon une perspective centrée sur les forces». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette recherche explore le phénomène subjectif de l’expérience globale de la maladie au regard des perceptions, des attentes et des sentiments des aînés atteints d’un trouble neurocognitif vivant à domicile.» (p. iii)

Questions/Hypothèses :
«[C]omment l‟expérience d‟un trouble neurocognitif tel que l’Alzheimer et les besoins qui en découlent sont-ils perçus par les personnes âgées atteintes vivant à domicile?» (p. 6)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«[L]’échantillon du présent projet compte 10 participants atteints d’un trouble neurocognitif.» (p. 35)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Lors de l’analyse, les propos des participants et surtout, leur expérience dans la maladie ont été pris en compte afin d’adapter adéquatement le modèle des forces à leur vécu. Le modèle des forces découlant de ce projet présuppose une forme différente de niches habilitantes. [N]ous avons intégré aux forces individuelles le désir de donner. Cet aspect se présente comme une force puisqu’il s’agit d’une occasion pour le participant de demeurer actif socialement tout en contribuant à la vie de famille ou encore à sa communauté. Le discours autour du désir de donner nous a permis de prendre connaissance de la position de pilier familial tenue par certains répondants. […] Comme pour plusieurs auteurs, nos résultats montrent que les relations sociales prennent une place importante dans l’expérience de la maladie. Ces relations sont principalement liées aux amis, à la famille élargie, mais d’abord et avant tout au conjoint. Effectivement, le conjoint revêt une importance particulière dans le discours des participants rencontrés et leurs propos permettent de distinguer les conjoints dans une catégorie à part. Ces aidants sont à certains égards perçus positivement par les participants, bien que l’adaptation du couple à la maladie n’est pas toujours positive […]. Nos résultats soulignent aussi l’importance de la réorganisation tant de la relation de couple que des tâches au quotidien.» (p. 140-141)