Régulation affective chez les enfants de parents ayant un trouble de personnalité limite

Régulation affective chez les enfants de parents ayant un trouble de personnalité limite

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Référence bibliographique [17544]

Boivin, Isabelle. 2015. «Régulation affective chez les enfants de parents ayant un trouble de personnalité limite ». Défi jeunesse, vol. XXI, no 2, p. 21-24.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’article expose les différents défis relatifs à la régulation affective chez les parents atteints d’un trouble de la personnalité limite. L’auteure aborde également le développement psychique chez l’enfant et la contribution de l’attachement parent-enfant, ainsi que le rôle des intervenants dans ce contexte.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Si le parent dispose d’un système d’attachement sécure, l’enfant pourra compter sur la capacité de ce dernier de recourir à ce que l’on nomme la synchronisation affective. Il s’agit d’un système neurobiologique où le parent s’accorde à son enfant en entrant en résonance affective avec lui par le biais de son propre corps et plus particulièrement par son hémisphère cérébral droit.» (p. 21-22) «Pendant ses premières années de vie, l’enfant ayant un parent présentant une structure de personnalité limite se retrouve potentiellement devant une absence ou une inconstance de soutien pour réguler ses émotions, ce qui le laisse sans protection devant des expériences trop intenses pour son système neurologique en développement. Différentes possibilités peuvent alors survenir. Si l’enfant a un système neurologique particulièrement solide (Porges dans Cozolino, 2012), ce qui implique un système biologique moins réactif et potentiellement plus stable, une bonne santé physique et la chance d’avoir des contacts avec un tuteur de résilience, les dommages seront potentiellement moins importants.» (p. 23)