Décisions médicales en fin de vie : réflexions sur la pratique en soins intensifs pédiatriques
Décisions médicales en fin de vie : réflexions sur la pratique en soins intensifs pédiatriques
Décisions médicales en fin de vie : réflexions sur la pratique en soins intensifs pédiatriques
Décisions médicales en fin de vie : réflexions sur la pratique en soins intensifs pédiatriquess
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Référence bibliographique [17534]
Millotte, Béatrice et Farrell, Catherine A. 2001. «Décisions médicales en fin de vie : réflexions sur la pratique en soins intensifs pédiatriques ». PRISME, no 36, p. 96-107.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : «Des conflits peuvent […] apparaître autour de la prise en charge en fin de vie. Ayant énoncé les droits des parents et les devoirs des médecins dans un contexte pratique en fin de vie, les auteures considèrent les principaux motifs motifs de conflits retrouvés chez les parents, puis du côté des soignants, en particulier les divergences d’opinions à propos de l’acharnement ou de l’abandon thérapeutique. Elles proposent des moyens de prévenir et de résoudre les conflits en insistant sur l’importance de la communication entre parents et soignants, mais aussi à l’intérieur de l’équipe traitante.» (p. 97)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«Si le rôle du pédiatre-intensiviste est d’abord de sauver une vie, il doit faire le nécessaire pour adoucir les derniers moments de vie de son patient quand il n’y a plus d’autre issue. Il doit aussi se méfier de l’acharnement thérapeutique tout en aidant l’enfant qui nécessite des soins palliatifs à mourir dans la dignité. Dans l’écoute et le soutien qu’il apporte aux proches, le pédiatre est aidé et secondé par les infirmières, les travailleurs sociaux, les bénévoles et divers représentants du culte. Enfin, la communication ouverte avec les parents reste l’outil essentiel et indispensable pour surmonter les motifs de grief et résoudre les conflits qui peuvent survenir à propos de décisions toujours difficiles et d’autant plus déchirantes qu’elles concernent la vie et la mort d’un enfant.» (p. 106)