Comprendre et soutenir dans leurs différences les pères et les mères d’enfants ayant des besoins particuliers. Un défi!

Comprendre et soutenir dans leurs différences les pères et les mères d’enfants ayant des besoins particuliers. Un défi!

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Référence bibliographique [17473]

Pelchat, Diane. 2014. «Comprendre et soutenir dans leurs différences les pères et les mères d’enfants ayant des besoins particuliers. Un défi!». Dans Recherche, droits et gouvernance en faveur de la personne et de ses proches , sous la dir. de Jean-Claude Kalubi, Tremblay, Mireille, Gascon, Hubert et Bouchard, Jean-Marie, p. 237-243. Actes du XIIe Congrès de l’AIRHM « Recherche, droits et gouvernance en faveur de la personne et de ses proches » tenu à Mont-Tremblant les 25-28 août 2012. Montréal: Les éditions de la Collectivité.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteure aborde la différence de réaction des mères et des pères lors de l’annonce d’un diagnostic de déficience motrice cérébrale chez leur enfant.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Dans le cadre de cette recherche qualitative, nous avons exploré auprès de 13 pères et 13 mères leur expérience de vivre avec un enfant ayant une déficience motrice cérébrale au cours du processus d’adaptation/transformation à la différence sur les plans individuel, parental, conjugal et extrafamilial sous l’angle de la stigmatisation.» (p. 238)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les pères et les mères utilisent deux stratégies à la fois paradoxales et complémentaires pour résister et contrecarrer les effets négatifs de la stigmatisation dans leur vie et ainsi renverser le processus vers une plus grande ouverture à la différence en général. Ce sont: la recherche de la normalité, qui vise à diminuer l’impact de la déficience de l’enfant sur lui-même et sur la famille en rendant la vie la plus ‘normale’ possible, et la transcendance, qui consiste à attribuer à la différence une valeur positive plutôt que négative. La première est privilégiée par les pères et la deuxième par les mères.» (p. 240) L’auteure conclut en mentionnant que «les professionnels, tout comme les pères et les mères, ont un travail à faire sur eux-mêmes, sur les propres préjugés afin de faire en sorte qu’un partenariat s’établisse entre eux pour mieux soutenir les familles dans leur processus de reconstruction de leur vie.» (p. 243)