Mesures sociales et fiscales liées à la pauvreté

Mesures sociales et fiscales liées à la pauvreté

Mesures sociales et fiscales liées à la pauvreté

Mesures sociales et fiscales liées à la pauvretés

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Référence bibliographique [17390]

Dumais, Lucie. 2015. «Mesures sociales et fiscales liées à la pauvreté». Dans Pauvreté et problèmes sociaux , sous la dir. de Jocelyn Vinet, Filion, Danielle, Dumais, Lucie et Gaudreau, Louis, p. 179-206. Québec: Fides éducation.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le présent chapitre examine divers programmes sociaux et mesures fiscales de protection sociale en montrant comment ceux-ci touchent les différentes couches de la population et quels sont leurs effets dans la lutte à la pauvreté. Il vise à expliquer pourquoi tels choix sociaux ont été effectués.» (p. 180)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Le Canada est considéré comme un État-providence de type libéral, c’est-à-dire que les personnes vulnérables y sont moins protégées qu’ailleurs en Occident du fait que ses politiques sont moins interventionnistes. Au Québec, l’État aurait tendance à être un peu plus social-démocrate […]. Ainsi, la politique familiale québécoise est plus généreuse et permet à de nombreux parents de concilier travail et famille. Au cours des 10 dernières années, des programmes monétaires et des services sociaux permettant de réduire les inégalités et la pauvreté dans les familles ont été mis en place au Québec. Le Québec serait une société plus solidaire que les autres provinces, car les organismes communautaires et d’économie sociale jouent un rôle de premier plan, par exemple dans les services aux personnes (association d’aide aux familles et aux immigrants), les quartiers (coopératives financières ou agricoles). […] Le gouvernement québécois n’a pas atteint le but défini dans la loi de 2002, qui était de figurer parmi les pays où il a le moins de pauvreté. Ses politiques sociales ont amélioré le sort des familles monoparentales, mais pas forcément celui des adultes célibataires, des personnes handicapées et des immigrants.» (p. 203)