Pratiques parentales positives comme facteurs de protection des enfants contre les effets de la pauvreté
Pratiques parentales positives comme facteurs de protection des enfants contre les effets de la pauvreté
Pratiques parentales positives comme facteurs de protection des enfants contre les effets de la pauvreté
Pratiques parentales positives comme facteurs de protection des enfants contre les effets de la pauvretés
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Référence bibliographique [17354]
Rus-Haicu, Maria. 2015. «Pratiques parentales positives comme facteurs de protection des enfants contre les effets de la pauvreté». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, École de travail social.
Intentions : «La présente recherche vise à combler [le] manque de connaissances au sujet des pratiques que les parents provenant des milieux moins nantis utilisent auprès de leurs enfants. […] Le but de la recherche est d’identifier, d’analyser et de décrire d’une façon détaillée ces pratiques parentales […].» (p. 32)
Questions/Hypothèses : «Quelles ont été les pratiques parentales qui ont contribué à annuler les effets négatifs de l’exposition de la personne à la pauvreté pendant l’enfance? Quel a été l’impact de ces pratiques sur le développement physique, cognitif, social et affectif des enfants?» (p. vi)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’échantillon est composé de 10 «personnes vivant en Abitibi-Témiscamingue provenant d’une famille pauvre et qui ont bénéficié des pratiques parentales positives en plus de connaître un processus développemental sans difficulté [sic].» (p. vi)
Instruments : Guide d’entretien directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
«Les résultats confirment que les pratiques parentales ont joué un rôle de protection des enfants devant les effets négatifs de l’exposition à la pauvreté. La plupart des parents des participants à la recherche ont fait preuve d’un engagement significatif auprès de leurs enfants, ils ont utilisé des mesures disciplinaires adéquates et souples, ils ont manifesté de l’ouverture vers le milieu extérieur de la famille et ils avaient confiance en leurs capacités à exercer le rôle parental. Comme René et al. (2004, p.41) le soulignent, il faut considérer les parents vivant au milieu de la pauvreté comme citoyens à part entière et non comme des ''parents à risque, bénéficiaires des programmes d’intervention''. Pour enrichir la connaissance au sujet à l’étude, des recherches devraient être réalisées en ayant des participants qui ont vécu au sein des familles se conformant à plusieurs modèles familiaux, car la majorité des participants ont vécu au sein des familles nucléaires traditionnelles.» (p. vi)