L’égalité entre les hommes et les femmes - Point de vue des femmes immigrantes
L’égalité entre les hommes et les femmes - Point de vue des femmes immigrantes
L’égalité entre les hommes et les femmes - Point de vue des femmes immigrantes
L’égalité entre les hommes et les femmes - Point de vue des femmes immigrantess
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Référence bibliographique [17346]
Delarosbil, Christine. 2015. «L’égalité entre les hommes et les femmes - Point de vue des femmes immigrantes». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de service social.
Intentions : «La présente étude vise à évaluer si l’immigration au Québec influence l’adhésion des femmes immigrantes à l’égalité entre les hommes et les femmes.» (p. iii)
Questions/Hypothèses : «[Q]uelles sont les personnes composant le réseau familial des jeunes dans les premières années suivant la fin de leur placement? [...] Quelles sont les caractéristiques des liens familiaux entretenus par les jeunes? [...] Quel est le soutien émergeant des liens familiaux? [...] Quels facteurs influencent le maintien ou non des liens avec la famille d’origine et la famille d’accueil?» (p. 2)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’échantillon est composé de «onze femmes immigrantes provenant de diverses origines […].» (p. iii)
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
«Les entrevues ont permis d’observer que les participantes reconnaissaient que les femmes de leur pays d’origine avaient des attitudes de genre plus traditionnelles que les femmes d’origine québécoise. Au Québec, les participantes remarquaient aussi que les pratiques de genre semblaient suivre une logique davantage fondée sur l’égalité, ce qui avait influencé certaines à faire un partage équitable des tâches à la maison.» (p. 115) «D’autres résultats peu attendus ont été nommés en lien avec les droits des femmes au Québec. En effet, les femmes interrogées ont fait un portrait de toutes les structures sociales qui favorisaient leur intégration sur le marché du travail, qui facilitaient leur vie de famille et qui assuraient leur protection en cas de situation de violence au Québec. […] Certaines identifient que l’accès au divorce et aux pensions dédiées aux enfants pour aider les familles monoparentales ajoutées à la protection et la crédibilité offerte aux victimes par la police leur assurait une sécurité et la possibilité de continuer sa vie seule après une relation de violence.» (p. 109-110)