Montréal en ruelles : le récit de l’appropriation du lieu par les résidents de Rosemont-La Petite-Patrie

Montréal en ruelles : le récit de l’appropriation du lieu par les résidents de Rosemont-La Petite-Patrie

Montréal en ruelles : le récit de l’appropriation du lieu par les résidents de Rosemont-La Petite-Patrie

Montréal en ruelles : le récit de l’appropriation du lieu par les résidents de Rosemont-La Petite-Patries

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Référence bibliographique [17341]

Kelly, Charlotte. 2014. «Montréal en ruelles : le récit de l’appropriation du lieu par les résidents de Rosemont-La Petite-Patrie». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Département des sciences historiques.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[L]a ruelle semble aujourd’hui redécouverte par les citoyens qui la modifient et la mettent à leur main, phénomène qui intéresse aussi les environnementalistes et les spécialistes du développement durable. Nous avons donc choisi d’en faire notre sujet de recherche en nous penchant sur les manières de vivre un tel espace.» (p. III)

Questions/Hypothèses :
La question de recherche est la suivante: «Comment les Montréalais s’approprient-ils leurs ruelles?» (p. 12) «En tentant de répondre à cette question, nous avons pu dès le début de la recherche proposer quelques hypothèses selon lesquelles l’appropriation de la ruelle se fait de différentes manières, soit par son utilisation, autant par les enfants que par les adultes, ou soit par son aménagement, tant par les programmes de la Ville que par les initiatives citoyennes.» (p. 13)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de 14 résidents du quartier Rosemont-La Petite Patrie (RPP) depuis au moins deux ans.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


Au regard des participants, «[l]es familles sont surreprésentées dans notre échantillon par rapport aux ménages constitués d’une seule personne. Cette particularité tend à corroborer notre hypothèse selon laquelle les familles tendent davantage à s’approprier la ruelle et sont par le fait même plus intéressées à en parler.» (p. 18) Ce mémoire soutient que «[l]es ruelles montréalaises recèlent des secrets bien gardés en chacune d’entre elles. Bien différentes les unes des autres dans leur personnalité, elles sont le reflet de leurs résidents. Celles de RPP se trouvent dans un contexte qui leur est propre. […] La revitalisation du quartier apporte plusieurs changements, notamment l’arrivée massive de jeunes familles. Ce sont pour la plupart ces jeunes familles qui s’impliquent et veulent améliorer leur milieu de vie. Les ruelles font également partie de leur objectif mais cette revitalisation n’est pas celle qui motive seule la fréquentation de ce lieu. Les ruelles ont été, dès leurs débuts, fortement animées.» (p.101)