Protective Factors in Siblings of Youths with Trisomy 21

Protective Factors in Siblings of Youths with Trisomy 21

Protective Factors in Siblings of Youths with Trisomy 21

Protective Factors in Siblings of Youths with Trisomy 21s

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Référence bibliographique [17222]

St-André, Marie-Pier, Jourdan-Ionescu, Colette et Julien-Gauthier, Francine. 2014. «Protective Factors in Siblings of Youths with Trisomy 21». Dans The Second World Congress on Resilience: From Person to Society , sous la dir. de Serban Ionescu, Tomita, Mihaela et Cace, Sorin, p. 491-495. Actes du colloque ''From Person to Society'' tenu les 8-10 mai 2014 à Timisoara (Roumanie). Bologne (Italie): Medimond.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Les auteures s’intéressent aux facteurs de protection entre fratrie dont un des deux membres est atteint de trisomie 21 (T21).

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon compte deux participantes «âgées de 26 et 18 ans et ont toutes deux un frère présentant une trisomie 21 (FT21). L’une est l’aînée d’une fratrie de quatre enfants (son frère FT21 a 8 ans de plus/moins qu’elle) alors que l’autre est la cadette de 2 ans d’une fratrie de deux.» (p. 493)

Instruments :
- Guide d’entretien semi-directif
- Grille d’observation

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


Selon les auteures, «[l]es deux études de cas présentées confirment les écrits scientifiques […] qui ont démontré que le fait d’avoir un frère ou une sœur présentant une déficience intellectuelle pouvait avoir des impacts à la fois positifs et négatifs. Malgré la période adolescente rapportée comme plus difficile en raison du manque d’attention parentale associée à la présence du frère T21, il semble que les trajectoires de relation (vie et activités communes) et les facteurs de protection relevés dans cette présentation surpassent les facteurs de risque, et permettent une grande satisfaction dans la relation au FT21. Il est possible de croire que la résilience des sœurs pourrait être liée à ces éléments et permettent la conscience des impacts positifs.» (p. 494)