Le salaire au travail ménager : chronique d’une lutte féministe internationale (1972-1977)
Le salaire au travail ménager : chronique d’une lutte féministe internationale (1972-1977)
Le salaire au travail ménager : chronique d’une lutte féministe internationale (1972-1977)
Le salaire au travail ménager : chronique d’une lutte féministe internationale (1972-1977)s
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Référence bibliographique [17152]
Toupin, Louise. 2014. Le salaire au travail ménager : chronique d’une lutte féministe internationale (1972-1977). Montréal: Les éditions du remue-ménage.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : Ce livre «réinscrit dans l’histoire des idées féministes un chapitre évanoui, tout en offrant des outils critiques à nombre d’enjeux actuels dont le partage des tâches, le travail de soins, la division sexuée du travail, la conciliation emploi-famille, la sexualité comme travail et la reproduction sociale à l’échelle mondiale.» (quatrième de couverture)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
«Le premier chapitre de ce livre est d’abord consacré à une mise en contexte de la publication, au début de la décennie 1970, du livre manifeste Le pouvoir des femmes et la subversion sociale. […] Le deuxième chapitre se consacre à la vulgarisation d’œuvres au fondement de la pensée du salaire au travail ménager, œuvres écrites entre les années 1972 et 1977, soit la période d’existence du Collectif féministe international. Le troisième donne une idée générale de ce qu’était le CFI, comme réseau de groupes et comme instance internationale […]. Les quatrième et cinquième chapitres se penchent sur l’incarnation de la perspective du salaire au travail ménager dans l’action […]. Le sixième chapitre présente des exemples de luttes engagées par des groupes à la périphérie du réseau, soit le groupe Lohn für Hausarbeit de Berlin et le Collectif du salaire au travail ménager de Genève, L’Insoumise, ainsi que sa perspective politique. La conclusion tentera d’esquisser, dans ses grandes lignes, la toile de fond de l’évolution de la question de la reproduction sociale, dans sa dimension sphère domestique et privée.» (p. 30-31)