Recoller les morceaux : l’éclatement et la reconstitution de la famille dans le roman québécois des années 1990
Recoller les morceaux : l’éclatement et la reconstitution de la famille dans le roman québécois des années 1990
Recoller les morceaux : l’éclatement et la reconstitution de la famille dans le roman québécois des années 1990
Recoller les morceaux : l’éclatement et la reconstitution de la famille dans le roman québécois des années 1990s
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Référence bibliographique [1711]
Robertson, Adam L. 2008. «Recoller les morceaux : l’éclatement et la reconstitution de la famille dans le roman québécois des années 1990». Mémoire de maîtrise, Halifax, Nouvelle-Écosse, Dalhousie University, Department of French.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : «Ce mémoire se veut une analyse de l’éclatement et de la reconstitution de la famille telle [sic] qu’ils sont représentés dans le roman québécois des années 1990.» (p.vii)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Huit romans québécois publiés au cours des années 1990 : «Le pavillon des miroirs» de Sergio Kokis, «Unless» d’Hélène Monette, «L’île de la merci» d’Élise Turcotte, «Les vents dominants» de Jacques Marchand, «La danse juive» de Lise Tremblay, «C’est pas moi, je le jure!» de Bruno Hébert, «La virevolte» de Nancy Huston et «Le bout de la terre» de Yan Muckle.
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
L’auteur présente une étude de «[...] huit romans récents de Bruno Hébert, Nancy Huston, Sergio Kokis, Jacques Marchand, Hélène Monette, Yan Muckle, Lise Tremblay et Élise Turcotte. Qu’il s’agisse dans ces romans d’une famille nucléaire, recomposée ou monoparentale, il existe un dénominateur commun qui les relie entre elles : l’éclatement. La cellule familiale s’y caractérise par le démembrement et le fractionnement, qui y sont inscrits principalement au niveau thématique. Ce mémoire explore les éléments déclencheurs de l’effritement de la famille; éléments primordiaux qui imprègnent notre corpus. Dans la première section, nous nous penchons sur la violence et son effet destructeur sur la dynamique familiale. Il s’agit ici d’une menace extérieure qui est progressivement intériorisée et qui constitue néanmoins une menace. Dans la seconde section, nous examinons l’effet de la carence parentale, des mères et des pères respectivement. Dans la troisième section, nous traitons des notions d’unification et de cohésion, à travers une analyse de l’amour et de la création au sein de la famille. Nous tâchons de voir si ces pulsions s’avèrent capables de mener vers la réconciliation et la solidarité familiale.» (p.vii)