Paternités, discours et pratiques sociales : quelles passerelles possibles?

Paternités, discours et pratiques sociales : quelles passerelles possibles?

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Référence bibliographique [1437]

Deslauriers, Jean-Martin. 2009. «Paternités, discours et pratiques sociales : quelles passerelles possibles? ». Reflets : Revue d’intervention sociale et communautaire, vol. 15, no 1, p. 10-19.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Ce texte est une introduction à la thématique de la paternité, sujet de cette revue, où l’auteur présente les grandes lignes des enjeux reliés à cette question (intervention, services offerts, etc.).

Questions/Hypothèses:
L’auteur se demande si « [...] les pères sont [...] vraiment mieux desservis par les services sociaux destinés aux familles? » et « [...] pourquoi [il est] difficile de travailler auprès des pères (Deslauriers, 2008) [...] » (p. 10).

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Essai

3. Résumé


À la fin de son article, l’auteur croit qu’il est « […] prometteur et nécessaire de resituer l’essence d’une réflexion sur la paternité dans son contexte familial, particulièrement en tentant de se placer de la perspective des enfants. Ce point de vue [lui] semble générateur d’idées pour tenter d’aménager des mesures, des arrangements, des services et des stratégies d’intervention. D’ailleurs, comme travailleur social, [il s’est] souvent perçu comme étant à l’intersection des courants précités. À plusieurs reprises, [il a] eu à déterminer quand tenter d’aider, de quelles façons, comment et parfois, quand lâcher prise face à une situation de désengagement paternel. Dans des contextes familiaux confus, une question phare [lui] fut maintes fois éclairante pour [s]’orienter : si j’étais cet enfant, qu’est-ce que j’aurais souhaité que cette personne fasse pour aider mon père à mieux prendre soin de moi, à mieux m’aimer? [Il] croi[t] que la question doit également être posée afin d’y trouver des réponses collectivement. Pour y arriver, des passerelles doivent s’établir entre femmes et hommes, entre tenants d’idéologies, en tentant d’atténuer les effets des débats, au profit du bien-être des enfants. » (p. 14-15)