Prévention et traitement en matière de maltraitance psychologique envers les enfants

Prévention et traitement en matière de maltraitance psychologique envers les enfants

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Prévention et traitement en matière de maltraitance psychologique envers les enfantss

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Référence bibliographique [1364]

Gagné, Marie-Hélène, Melançon, Claudiane et Malo, Claire. 2009. «Prévention et traitement en matière de maltraitance psychologique envers les enfants». Dans La violence à l’égard des enfants en milieu familial , sous la dir. de Marie-Ève Clément et Dufour, Sarah, p. 63-78. Anjou, Québec: Éditions CEC.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Les auteures de ce chapitre se proposent, dans un premier temps, de dresser un panorama des diverses stratégies de prévention universelles et sélectives en matière de maltraitance psychologique des enfants, puis, dans un second temps, d’aborder le domaine des stratégies indiquées et de l’intervention curative.

Questions/Hypothèses :
«Il est vrai qu’il ne semble pas exister de programmes de prévention ou de traitement évalués qui portent précisément sur la maltraitance psychologique [...]. Mais est-ce une raison pour n’avoir rien à dire au sujet de l’intervention, surtout dans le contexte où le concensus conceptuel en matière de maltraitance psychologique est en voie de se consolider?» (p.63)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«En dépit de la rareté des écrits portant spécifiquement sur la prévention et le traitement de la maltraitance psychologique, [les auteures] montrent qu’il est possible de s’inspirer des connaissances actuelles pour suggérer des pistes d’action prometteuses. Sans prétendre éradiquer la maltraitance envers les enfants, il est possible d’intervenir de manière à en réduire l’incidence, à en améliorer la détection et à en traiter efficacement les manifestations et les séquelles. Dans l’avenir, il sera intéressant de mettre au point, d’évaluer et de disséminer des initiatives de prévention et de traitement spécialement conçues pour la maltraitance psychologique. Il sera également important de vérifier l’effet d’avoir explicitement enchâssé dans la LPJ [Loi sur la protection de la jeunesse] le ’mauvais traitement psychologique’ comme un motif de protection. Des données préliminaires indiquent que ce motif est utilisé par les intervenants qui reçoivent et évaluent les signalements [...], mais, pour le moment, il est difficile de cerner l’impact de cette nouveauté et ses retombées pour la clientèle.» (p.78)