Succession, pratiques d’écriture et individualisation de la famille au XVIIIe siècle

Succession, pratiques d’écriture et individualisation de la famille au XVIIIe siècle

Succession, pratiques d’écriture et individualisation de la famille au XVIIIe siècle

Succession, pratiques d’écriture et individualisation de la famille au XVIIIe siècles

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Référence bibliographique [1353]

Garneau, Jean-Philippe. 2009. «Succession, pratiques d’écriture et individualisation de la famille au XVIIIe siècle». Dans Temps, espace et modernités , sous la dir. de Brigitte Caulier et Rousseau, Yvan, p. 57-67. Québec: Presses de l’université Laval.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Je me propose de souligner, dans les lignes qui suivent, la pertinence de cette approche culturelle [individualisme] du droit en appuyant mon propos sur une étude de la pratique successorale de familles canadiennes du XVIIIe siècle. » (p. 60)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« L’enquête portait sur une région rurale en aval de Québec, la côte de Beaupré, petite enclave agricole dont la population ne compta pas beaucoup plus de 2000 habitants durant la période étudiée. Malgré ce contexte rural et colonial, la recherche révèle l’importance des pratiques juridiques d’écriture qui, tout en reproduisant la famille légitime, singularisent le plus souvent ses forces vives, les enfants d’âge mineur. Nous examinerons d’abord un cas de figure qui, sans être représentatif de toutes les situations en matière de règlement successoral, permet du moins de cerner la nature du procédé d’individualisation que les praticiens du droit effectuent à la suite de la rupture de l’union conjugale. » (p. 60)