Cohabitation: An Alternative Form of Family Living
Cohabitation: An Alternative Form of Family Living
Cohabitation: An Alternative Form of Family Living
Cohabitation: An Alternative Form of Family Livings
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Référence bibliographique [13268]
Wu, Zheng. 2000. Cohabitation: An Alternative Form of Family Living. Oxford; New York: Oxford University Press.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : «This book is about an emerging form of family living – cohabitation or common law union.» (p. 1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’étude est basée sur les données issues de plusieurs recensements canadiens et plusieurs banques de données provinciales. Plusieurs des données sont présentées par provinces.
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
Après avoir exposé les perspectives théoriques et la provenance de ses données qui entourent le sujet de la cohabitation, l’auteur décrit l’évolution de la cohabitation au Canada et la compare à celle de différents pays européens. Il examine ensuite les modalités de la transition vers la cohabitation et tente de voir son effet sur la décision des femmes d’avoir un enfant. L’auteur explore aussi les différentes conséquences (instabilité du couple et division du travail domestique) de la cohabitation sur les individus, en plus de tracer un portrait des modalités de la transition hors de la cohabitation (mariage, séparation, mort d’un des partenaires). À la lumière de ses recherches, l’auteur constate rapidement que le phénomène est à son plus fort au Québec, où résident 43% (p. iv) des couples hétérosexuels en cohabitation. C’est pourquoi il mentionne que «Quebec clearly leads the country in the trends of family attitudes.» (p. 146) Cette différence flagrante entre le Québec et l’ensemble des provinces l’incite, tout au long de l’ouvrage, à baser ses comparaisons sur la dyade Québec – Non-Québec (reste du Canada). Il conclut en mentionnant que «with the arrival of the new century and the new millenium, there is little doubt that the cohabiting-couple family will soon be accepted as a full-fledged Canadian institution.» (p. 167)