L’expertise en matière de garde et de droits d’accès

L’expertise en matière de garde et de droits d’accès

L’expertise en matière de garde et de droits d’accès

L’expertise en matière de garde et de droits d’accèss

| Ajouter

Référence bibliographique [13093]

Poitras, Karine, Mignault, Louis, Barry, Suzanne et Blanchet, Jennifer. 2014. «L’expertise en matière de garde et de droits d’accès». Dans L’enfant et le litige en matière de garde: regards psychologiques et juridiques , sous la dir. de Karine Poitras, Mignault, Louis et Goubau, Dominique, p. 186-212. Québec: Presses de l’Université du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce chapitre vise à décrire les balises déontologiques et méthodologiques qui encadrent le travail de l’expert en matière de garde d’enfants.» (p. 186)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«L’objectif de l’expertise en matière de garde est clair et les évaluations réalisées dans ce contexte exigent que les psychologues et travailleurs sociaux offrent une fine analyse des situations familiales dans le but de permettre au tribunal d’établir quel est le meilleur intérêt de l’enfant et d’ordonner le plan parental le plus approprié à la situation. Aussi, dans le cadre de son travail, l’expert pourra transmettre les connaissances les plus actuelles afin de soutenir et nuancer la formulation de ses recommandations. […] Ainsi, il semble qu’il faille avoir des attentes raisonnables quant au processus d’expertise psychosociale et se rappeler les objectifs visés, soit l’élaboration de recommandations en matière de garde et de droits d’accès les plus respectueuses de l’intérêt de l’enfant et des qualités des parents impliqués. Kelly et Ramsey (2009) sont d’avis qu’en ce qui concerne la garde d’enfant dans les situations familiales complexes ou hautement litigieuses, le juge ne peut être laissé seul devant cette décision à rendre, sans détenir les connaissances que l’expert est en mesure de lui transmettre.» (p. 204-205)