Vieillir au masculin/au féminin : portrait différencié des femmes et des hommes aînés dans Lanaudière
Vieillir au masculin/au féminin : portrait différencié des femmes et des hommes aînés dans Lanaudière
Vieillir au masculin/au féminin : portrait différencié des femmes et des hommes aînés dans Lanaudière
Vieillir au masculin/au féminin : portrait différencié des femmes et des hommes aînés dans Lanaudières
|
Référence bibliographique [13088]
Plouffe, Véronique. 2013. Vieillir au masculin/au féminin : portrait différencié des femmes et des hommes aînés dans Lanaudière. Joliette (Québec): Gouvernement du Québec, Conférence régionale des élus(es) Lanaudière.
Intentions : «Ce document dresse un portrait comparatif des femmes et des hommes âgés de 65 ans et plus en abordant différents aspects de la vie des aîné(e)s» (p. 4)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«[I]l existe des écarts importants entre la situation des hommes aînés et celle des femmes aînées dans la région[.] Les femmes représentent présentement la majorité des aîné(e)s, mais leur proportion relative tendra à diminuer au cours des prochaines années. Elles sont moins scolarisées et moins avantagées sur le plan matériel, comparativement aux hommes. Elles sont également plus nombreuses à être veuves, à vivre seules et à vivre dans un établissement institutionnel. Elles représentent la majorité des proches aidant(e)s et des personnes recevant de l’aide d’un(e) proche aidant(e). [L]e fait qu’elles entretiennent des liens plus serrés avec la famille et les amis pourrait augmenter les probabilités qu’elles reçoivent le soutien nécessaire en cas de besoin et qu’elles souffrent moins d’isolement social et affectif. […] Les hommes aînés sont généralement plus scolarisés et bénéficient d’une meilleure situation économique […]. Ils sont aussi plus susceptibles de vivre en couple et de se remarier après le décès d’une conjointe. [I]ls disposent généralement d’un réseau social et familial plus restreint que les femmes et seraient moins susceptibles de demander de l’aide et du soutien pour faire face à une difficulté.» (p. 24-25)