Favoriser la résilience des élèves ayant une déficience intellectuelle lors de la transition de l’école à la vie active

Favoriser la résilience des élèves ayant une déficience intellectuelle lors de la transition de l’école à la vie active

Favoriser la résilience des élèves ayant une déficience intellectuelle lors de la transition de l’école à la vie active

Favoriser la résilience des élèves ayant une déficience intellectuelle lors de la transition de l’école à la vie actives

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Référence bibliographique [12998]

Martin-Roy, Sarah, Julien-Gauthier, Francine et Jourdan-Ionescu, Colette. 2015. «Favoriser la résilience des élèves ayant une déficience intellectuelle lors de la transition de l’école à la vie active». Dans Résilience assistée, réussite éducative et réadaptation , sous la dir. de Francine Julien-Gauthier et Jourdan-Ionescu, Colette, p. 64-67. Actes du colloque «Colloque international sur la résilience : conceptualisation, évaluation et intervention» tenu du 6 au 10 mai 2013 à l’Université Laval. Québec: Centre de recherche et d’intervention sur la réussite scolaire (CRIRES).

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet article présente les résultats d’une recension des écrits scientifiques sur les facteurs de protection à mettre en place pour faciliter la réussite de la transition de l’école à la vie active des élèves ayant une déficience intellectuelle. La vie active correspond ici à une participation et une contribution sociales comprenant un travail à temps plein ou à temps partiel, des activités bénévoles ou communautaires, etc.» (p. 64)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Cette recherche repose sur une recension d’écrits.

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«La recension des écrits a permis de mettre en lumière différents facteurs de protection à considérer lors de la transition vers la vie active des élèves ayant une déficience intellectuelle. Un élément primordial semble cependant transcender plusieurs de ces facteurs de protection, soit la participation réelle des élèves à leur propre processus de transition. Cet aspect reste à promouvoir dans un contexte où il existe peu d’études sur la participation active des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition (Thoma, Rogan et Baker, 2001; Agran et Hugues, 2008) et où l’implication passive des élèves au processus est souvent décriée (Powers et al., 2005; Hetheringon et al., 2010).» (p. 66) Les auteurs identifient des facteurs de protection familiaux. «L’implication de la famille dans l’ensemble du processus de transition est nécessaire et aidante […], notamment par le soutien tangible offert, les encouragements et la croyance au potentiel des jeunes. […] Les valeurs du milieu familial exercent aussi une grande influence sur l’élève tout au long de son développement en lui inculquant la croyance que le travail est une attente de la vie adulte (Timmons, Hall, Bose, Wolfe, & Winsor, 2011). Le rôle des parents dans le développement de l’affirmation de soi, de la responsabilisation et de la motivation est prépondérant (Julien-Gauthier et al., 2012).» (p. 65-66)