L’impact à long terme du traumatisme craniocérébral sur les proches

L’impact à long terme du traumatisme craniocérébral sur les proches

L’impact à long terme du traumatisme craniocérébral sur les proches

L’impact à long terme du traumatisme craniocérébral sur les prochess

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Référence bibliographique [12948]

Lefebvre, Hélène, Pelchat, Diane, Gélinas, Isabelle, Michallet, Bernard et Levert, Marie-Josée. 2005. «L’impact à long terme du traumatisme craniocérébral sur les proches». Dans Recherche interdisciplinaire en réadaptation et traumatisme craniocérébral, nouvelles perspectives théoriques et cliniques , p. 27-44, no 2. Montréal: Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet article présente les résultats d’une recherche portant sur l’impact à long terme de la problématique du TCC (traumatisme craniocérébral) modéré ou sévère sur les proches de la personnes l’ayant subi.» (p. 28)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Les données ont été recueillies auprès de 22 personnes ayant subi un TCC modéré ou sévère il y a 11 à 14 ans et de 21 de leurs proches.» (p. 28)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les TCC constituent une source importante de morbidité au Canada et au Québec. Les études démontrent que cette situation de santé a un effet néfaste à long terme chez les personnes ayant subi un TCC et leurs proches, produisant une augmentation des risque de suicide, de divorce, de chômage, de tension sociale et de toxicomanie ainsi qu’un accroissement des coûts financiers pour le système de santé. […] Les résultats indiquent que les proches vivent difficilement la situation avec la personne ayant subi le TCC, même plus de 10 ans après le traumatisme. Cette problématique de santé a des impacts importants dans les sphères individuelles et familiales. Toute la vie familiale est centrée autour de la personne. La prise en charge du quotidien de celle-ci mobilise l’entourage qui y investi beaucoup d’énergie. Ces difficultés semblent aggravées par le manque de suivi et de soutien offert à long terme aux proches. Plus de 10 ans après le traumatisme, ceux-ci ont toujours besoin d’être soutenus dans cette expérience.» (p. 27-28)