La conciliation école-famille : une avenue pour favoriser la coéducation et l’implication parentale

La conciliation école-famille : une avenue pour favoriser la coéducation et l’implication parentale

La conciliation école-famille : une avenue pour favoriser la coéducation et l’implication parentale

La conciliation école-famille : une avenue pour favoriser la coéducation et l’implication parentales

| Ajouter

Référence bibliographique [12931]

Larrivée, Serge J. 2013. «La conciliation école-famille : une avenue pour favoriser la coéducation et l’implication parentale». Dans Plaidoyer pour une école communautaire / Making a Case for Community Schools , sous la dir. de Nathalie S. Trépanier, p. 172-204. Montréal: Éditions Nouvelles.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce chapitre expose les liens entre l’école et la famille dans le système d’éducation québécois. L’auteur présente les facteurs qui favorisent ou ceux qui nuisent à la collaboration et à l’implication parentale pour arriver à proposer un cadre de référence axé sur la conciliation école-famille qui aiderait au développement d’une coéducation.» (p. 172)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«La coéducation et l’implication parentale, qui reposent sur la collaboration école-famille, sont au cœur des orientations ministérielles visant l’amélioration de la réussite scolaire. Elles sont aussi reconnues comme des stratégies efficaces dans la documentation scientifique […] Théoriquement, il est possible pour les enseignants de faire équipe avec tous les parents tout comme les parents avec les enseignants. Cependant, la réalité est beaucoup plus complexe puisque les relations école-famille mettent en scène une grande variété de personnes et de situations. Si, d’entrée de jeu, les situations potentiellement conflictuelles sont très nombreuses, l’établissement de liens de confiance basés sur la communication, le respect, l’ouverture et la volonté des parents et des enseignants à collaborer concourt à diminuer leur éclosion. Plus spécifiquement, comme nous l’avons montré dans ce texte, la conciliation école-famille apparaît l’un des moyens à privilégier pour y parvenir. En effet, bien que l’évolution des rapports entre les parents et les enseignants en général tend à placer ces deux catégories d’acteurs davantage sur un pied d’égalité et montre qu’ils sont désormais voués à collaborer, nul ne peut les y contraindre.» (p. 197)